Invité
| Sujet: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Ven 1 Nov 2013 - 19:49 | |
| IRIS (CONSUELO) LOUP VARGAS ❝ feat PENELOPE CRUZ ❞
| #SUBJECT IDENTITY TRAVELLER ( médecin des âmes perdues ( pute ) / serveuse avant son départ )
NOM : LOUP VARGAS Prénom(s) : Iris Consuelo Betty Né le : 22.08.1988 Sexe : F Taille : 1m68 Cheveux : bruns Yeux : Marrons |
Originaire de Veracruz ; Mexique ✘ Elle était Serveuse le jour, prostituée la nuit avant le grand désastre ✘ actuellement en vadrouille , Consuelo tient le rôle de catin, aguiche et pique les vivres au maximum ( en plus de la thune ) ✘ Assez débrouillarde, elle s'en sort plutôt moyen, grâce aux clients et à ses recette de voleuse dans ce chaos complet ✘ elle peut s'estimer heureuse d'être douée pour consoler les hommes du surplus de violence, se cacher et voler les pesetas, avoir le sens du contact ( sans blague ) et de la conversation, ainsi qu’une superbe prédisposition à déclencher des bagarres. ✘ malheureusement elle est également insaisissable, à la recherche de son frère, et avide de liberté ce qui n'est pas toujours simple à vivre au quotidien ✘ pour finir, elle est plutôt généreuse, déterminée et passionée de nature mais aussi impétueuse, sanguine et rancunière. Mais aussi orgueilleuse et un poil voleuse, personne n'est parfait que voulez-vous !
MY STORY all the things that make me who i am « Paraît qu'elle est en ville celle dont on tait le nom, celle qui a fait oui, ramper mon âme sur le goudron. Paraît qu'elle danse ce soir, quand la nuit vient mouillante, en marin dans les bars, ouais qu'elle pleure comme elle chante. »DESIDERATA (n.m) : Il claque ses reins encore un peu, dans un élan de sauvagerie venu du cœur. Elle regard le mur en se demandant si ça vaut vraiment la peine. Si ce bellâtre dans son dos ne voudrait pas d’elle pour épouse. Et puis elle se rappelle qu’il est marié. Que ses enfants sont dans la pièce d’à-côté, et que « Quand Tata Iris vient, c’est un secret. Promis papa, on le dira jamais à maman. Et on l’aime bien Tati ! ». L’homme émet un long râle de plaisir puis se retire sans prendre la peine de penser au plaisir de la pute. Mais peu importe, justement parce que c’est son travail. Il s’allonge sur le lit. Iris ne se souvient plus réellement de son nom et pourtant, c’est un habitué. Tout en enfilant à nouveau ses sous-vêtements, elle lui jette un regard suffisamment explicite puisqu’il déclare : « L’argent est sur la commode. Tu restes pas ? » « Non, j’ai à faire. Lo siento cariño. Puis ta femme va débarquer, dans pas longtemps, si je ne m’abuse. » Elle enfile une robe couleur crème, dentelée, passe ses doigts dans ses cheveux et se dirige vers la salle de bain pour s’y refaire une petite beauté. Toujours. Savoir se servir de son corps. Après tout, elle ne savait faire que ça. Peut-être que Dieu lui avait ravi sa mère, mais en échange il l’avait conçue dans le marbre clair de la splendeur. L’harmonie des formes, des traits du visage. Et puis c’est connu, les ricains aiment les latines, farouches et sanguines. Elle correspondait au stéréotype. Ça lui déplaisait de rentrer dans un moule, mais c’était pratique en ce qui concernait son travail, alors elle s’en accommodait. Une trace de rouge à lèvre, une pluie de blush pour effacer celle de son regard. « J’y vais, file un baiser à tes gosses. » Iris claqua la porte, après avoir attrapé son sac et les billets posés sur la commode de l’entrée. Chaque fois qu’elle sortait d’un rendez-vous, tous ses sens étaient anesthésiés. Comme éthérée, elle courrait vers la liberté et le soleil, à la manière d’une tox sur son aiguille. Dix heures, juste le temps d’aller faire un baiser au Padre, et à Dantæ. Une clope entre les lèvres, Iris s’est mise à courir les pavés, éviter les grilles pour ne pas briser ses talons aiguilles. C’est agaçant, ces putains de chaussures, pense-t-elle. CONSOLATION (n.f) : « Rappelle-moi, ça veut dire quoi Consuelo ? », « ça veut dire Consolation. Je suis là pour apaiser les peines, c’est ma mission, c’est Dieu qui le veut. » Dantæ se mit à rire. Ça n’était pas rare lorsqu’elle sortait avec les amis de son frère, après tout, ils n’étaient pas si éloignés l’un de l’autre, faux jumeau. Leur mère est morte en les mettant au monde. Leur père n’en avait jamais tenu rigueur, et s’il pleurait Ana Luisa presque tous les jours depuis sa mort, il se crevait au travail pour donner une vie meilleure aux deux perles qu’elle avait laissée derrière elle. Iris et Dantæ, liés comme les doigts de la main. Iris et Dantæ, les inséparables, les deux solitaires à l’école, puisqu’ils parlaient mal la langue. Plus tard, au lycée, ils s’étaient éloignés, un peu, leur centre d’intérêt divergeant. Puis, Iris se devait de garder sa vocation de catin pour elle. Si elle faisait ça, c’était pour les deux hommes de sa vie, avant tout. Mais jamais ils n’auraient cautionnés, ils ne devaient jamais savoir. Revenir à la réalité, faire tourner la marie-jeanne entre leurs lèvres. Ils étaient grands maintenant, toujours cet amour sincère et franc. Iris assène un coup de poing dans l’épaule de Dantæ et croise ses bras sous sa poitrine, et arbore une mine boudeuse. Puisque c’est ainsi ! Elle commence à s’éloigner. Leurs jeux sont différents maintenant, elle est devenue belle. Dantæ est possessif, impulsif, comme elle. Et lorsque le regard de son pote se pose sur les hanches de sa sœur, il pète un câble. D’un coup d’un seul, il saute sur le gars qui avait oublié la première règle : « ne jamais convoiter la voisine ». Surtout quand cette voisine, c’était la sœur adorée de son grand copain. Dantæ est brutal, dangereux, téméraire et même inconscient. Il ne comprend pas pourquoi sa sœur continue de se réfugier dans la prière alors qu’il s’éloigne de Dieu tous les jours. Il ne supporte plus les pleurs de son père le soir. Il ne déclame plus le bénédicité. « Allez Consuelo, hermana, revienss ! J’plaisante. » Iris fait demi-tour et lui adresse un sourire angélique puis revient se blottir dans ses grands bras. C’est vrai, putain, qu’il est grand, coño, pense-t-elle. Elle se sent en sécurité. Pas comme ces mecs avec qui elle file en boite les week-ends, quand elle ment pour éviter les soupçons. Eux ils lui font mal, mais tant pis. Iris a apprit à consoler. Et parfois, elle apprécie son métier. « Oh non non n'y retourne pas, tu vas bouffer des clous, elle mangera ton cœur, et tu deviendras fou » S’ADONNER (v) : Se consacrer aux cœurs et aux âmes tourmentées. C’est ce qui la fait tenir. Iris est devenue experte en la matière, avec le temps, elle sait y faire, elle a ses connaissances et ses petits protégés. C’est devenu un ange, à Sacramento. Mais ils sont arrivés, et ils ont tout foutu en l’air. En l’espace de quelques heures, elle a tout perdu. Padre est mort, Dantæ a disparu. Les crevasses dans le cœur se sont approfondies, le manque s’est fait ressentir. La peur au ventre, les cheveux emmêlés. Iris a eu le culot de tout quitter. Puisqu’il lui fallait sa moitié, son autre. Dantæ. Elle s’est lancée à sa poursuite, après avoir récupéré des affaires à la maison, dans un sac à dos. La survie comme fer de lance. Adieu le resto, adieu ses protégés. Elle veut voyager, partir loin de ces étranges évènements. Le mal de l’être, « Papa se fue. ». Papa est partit, pour un dernier voyage, Iris a entamé le sien. Il s’est avéré long, et rude. Débrouillarde et habile de ses mains, Iris s’enquiert d’hommes et de femmes en dérive, puis se barre comme une voleuse le lendemain, vivre et argent en poche. Si elle doit tuer pour atteindre son but, elle le fera. Toutes les vies du monde ne valent pas son frère. Plus d’un an qu’elle parcourt les terres d’Amérique du nord, l’espoir s’est effiloché, Iris elle, s‘est endurcie. Son quotidien se résume à se cacher, faire l’amour, voler, et marcher, encore et encore. Paraît-il qu’une communauté s’est liguée pour survivre. Peut-être est-il là-bas. AD VITAM AETERNAM (adv) : « Notre père qui êtes aux cieux, que votre nom soit sanctifié… » « Qu’est-ce-que tu fous ? Tu pries ? Mais y’a pas de dieu ma fille, il nous a abandonné. » « ça va, j’arrive, j’arrive… ». Iris Consuelo, mexicaine débarquée en Amérique à six ans. Immigrée. Paumée. Prostituée. C’est l’éternité gravée dans ses traits. « Toujours le corps de ces femmes qui ont trop fait la fête, ne crois pas la connaître, elle et ses grands sourires. En amour, mon amour, il faut être vampire, comme un loup solitaire, elle va dans la nuit noire, et se nourrir de mon sang est bien son seul espoir. Puisque rien ne tarit la faim de la chair tendre, tu le sais bien, ici tout est à vendre. »© Saez - Elle était profonde BEHIND THE CHARACTER the real "me" Caca. I'm a queen.
Dernière édition par Iris C. Loup Vargas le Ven 1 Nov 2013 - 22:18, édité 4 fois |
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Avery L. Taylor
" HOSTS " invaders must die avatar : Elizabeth Olsen messages : 244 date d'inscription : 23/03/2013
points rp : 45 localisation : New York rôle/occupation : Gestionnaire du conditionnement humain humeur : Je pète des arc en ciel
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire ▲ inventaire: ▲ relationships : | Sujet: Re: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Ven 1 Nov 2013 - 20:15 | |
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Neo T. Springfeeld
" STAFF " maître du jeu avatar : leonardo dicaprio messages : 237 date d'inscription : 17/03/2013
points rp : 7 localisation : dans ton... pardon, ohio rôle/occupation : a little bit lost, maybe humeur : à poutrer des dragons
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire/en couple/marié(e) ▲ inventaire: ▲ relationships : | Sujet: Re: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Ven 1 Nov 2013 - 20:30 | |
| PENELOPE ( et pique assiette rpz bitches ) Bienvenue officiellement si tu as des questions n'hésite pas ! |
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Julian L. Baxter
" STAFF " maître du jeu avatar : jensen ackles messages : 405 date d'inscription : 23/04/2013
points rp : 22 localisation : cohorte rôle/occupation : mécano humeur : meh !
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire ▲ inventaire: ▲ relationships : | Sujet: Re: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Ven 1 Nov 2013 - 22:10 | |
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Léon
" SOLDIERS " guardians of the crowd avatar : Thomas Brodie-Sangster messages : 174 date d'inscription : 14/10/2013
points rp : 127
WHO I AM ? ▲ statut : Célibataire, le cœur meurtri ▲ inventaire: ▲ relationships : | Sujet: Re: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Ven 1 Nov 2013 - 22:52 | |
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Kellian J. Lewitt
" STAFF " maître du jeu avatar : Cillian Murphy messages : 320 date d'inscription : 25/01/2013
points rp : 103 localisation : New-York city rôle/occupation : En fuite
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire ▲ inventaire: ▲ relationships : | Sujet: Re: Iris Consuelo ; LOUP VARGAS • « Ouais qu’elle pleure comme elle chante. » • OK Sam 2 Nov 2013 - 9:20 | |
| C'est impec - j'adore ta manière d'écrire ;w; PUIS SAEZ - TU ES VALIDÉ(E) Félicitation et bienvenue sur Invaders ! Maintenant que ta fiche a été validée, le staff va se charger de te donner ta couleur et ton rang. Ton avatar sera recensé dans les plus bref délais. A présent tu peux t'occuper de ta fiche de liens ici et de ton almanach des rp ici. Pour toute question le staff est à ta disposition par mp ou sur la box si l'un de nous est connecté. On te souhaite un bon amusement sur le forum ! À très bientôt ! |
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