Columbus, Ohio
Novembre 2012
5H14 A.M.

Marah, Morgan et Jackson était installé à une station service abandonnée. Elle était totalement vide et c'est surement pour cela qu'ils y étaient encore. Ils avaient poussé le camion pendant environs 4 heures pour se rendre enfin à une station service, pour la trouver à sec. Depuis le temps, 2 semaines et demi ont passés. Quelques réserve, ils ont fouillés les environs, ils n'ont pas trouver de trésor malheureusement. Cependant, quelques cannages, beaucoup de cigarette, malheureusement aucun fumeur. Ils ont trouvés des munitions solitaire sur le sol, des gens avaient oubliés ces petites richesses.

Tous assis par terre, chacun à côté d'un cadre de fenêtre attendant le pire, voilà ce à quoi se réduisait leurs journées. Depuis qu'une véritable petite armée de host avaient passés dans le coin, il n'était pas question de sortir. Ils avaient également peur des autres êtres humains, ceux qui voudraient leurs biens précieux.

Il faisait chaud et les environs étaient désert, c'était désespérant, mais pas assez pour affecté le moral de Marah. Après tout ce que ces trois là avaient traversés, il n'y avait pas vraiment de problème face à quelques jours loin de tout. Ils venaient de volé de l'équipement à un homme qui se croyait plus malin qu'eux, c'était la jungle. Combien de temps survivraient-ils dans ce trou à rat ? La réponse allait surement venir, mais ce matin là, il y avait quelques choses de différent. Un son que Marah entendait, c'était le son de véhicule, très très loin, mais belle et bien là. C'est alors que l'un de ces sons approchait, oui, c'était un véhicule en approche.

Tous savaient qu'ils ne pouvaient se lancer dans une bataille. Ce n'était pas un manque de munition ou d'effectif, c'était parce qu'une fusillade immense allait attiré des ennemis beaucoup plus dangereux que quelques pillards. Ils se cachaient dans des pièces à l'intérieur de la station service, n'attendant que leurs entrés pour les confrontés.

Ils entendent le véhicule s'arrêté, ils entendent des voix, plusieurs voix, trop de voix. Ils semblaient être 6 ou 7, contre 3 dont Marah. Tout deux chaque côtés du cadre de porte du bureau, Jackson et Marah écoutaient attentivement. Jackson lui jeta un regard final, ils allaient s'affrontés.

Tout les trois sortis de leurs cachent en même temps, ouvrant le feux un peu n'importe où dans le but de provoquer de la confusion. La confusion était moindre, ils avaient affaire à des ex-militaires assurément. C'est alors que la réplique se fit sentir, des chargeurs pleins vidé sur les murs. En terme de discrétion, les deux groupes avaient tout deux loupés. C'est alors qu'ils se firent face, Marah, Jackson et Morgan sortis de leurs cachettent, tous se pointaient.

Marah pointait sa mitraillette sur un soldat, jeune, il n'avait pas l'air d'un pillard. Il regardait sa cicatrice, elle pouvait le voir par son regard, une cicatrice comme celle-là, on ne passe pas vraiment à côté en la regardant. Elle regardait du coin de l’œil un autre soldat à sa droite. Ils étaient inférieur numériquement, ils n'avaient aucune chance.

Jackson baissa son arme le premier en soupirant, il dit :

- Baissez vos armes, on a aucune chance.

Morgan baissa aussitôt son arme, mais pas Marah, elle est comme ça. Elle refusait de se faire volé tout ce qu'ils avaient, c'était la même histoire à chaque fois, interdiction de répété la même histoire encore. L'homme à sa droite approchant, disant qu'elle n'avait aucune chance. Bien sur qu'elle n'avait aucune chance, elle le savait très bien d'ailleurs. Il approcha sa main de l'arme de Marah pour lui enlevé. Assiéger, c'était comme se faire envahir et volé jusque dans nos pensés, nos plans, nos buts. Elle s'y refusait, voyant l'homme approcher elle dit :

- Si vous voulez faire de moi votre putain, il va falloir le faire avec mon cadavre !

Elle tourna son arme vers l'homme en train d'approcher afin de l'abattre d'une rafale en plein thorax. Il s’effondra immédiatement, se noyant dans son sang. Marah baissa aussitôt son arme et se fit maîtrisé par l'un de ces hommes. Elle ne se doutait pas qu'ils étaient en fait la résistance de l'humanité, la dernière ligne de survivant civilisé en ce monde. Elle a commis l'irréparable, bon ou mauvais, ils n'hésiteront pas deux fois avant d'agir. Cela se démontre relativement vite, puisque évidemment, dans le temps de le dire, tous se ramassèrent dans des prisons dans des pièces séparés les une des autres.