it's not about what you've donne, it's about what you gonna do now.

(grey's anatomy) ▽ Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.

Tout avait été bien trop rapide pour que je prenne une décision claire sur le tas. Plus le temps passait, et moins j'étais certaine de ce que je voulais faire. Rester avec Skye, Tyler et le reste de la cohorte ? Ou bien partir de mon côté, seule ? Oh, bien sûr, j'avais toujours l'espoir fou de retrouver Sean. Mais dans quel état ? La dernière fois que je l'avais vu, il se faisait capturer par les aliens pour me permettre de m'en sortir. S'il était devenu l'un d'entre eux, ce qui était quasiment obligatoire, je n'avais aucun intérêt à le retrouver. J'en avais parfaitement conscience et pourtant, je n'étais pas totalement certaine de vouloir laisser tomber mes recherches. A quoi bon continuer si je n'avais plus ce but, cet objectif ? C'était ce qui m'avait fait tenir jusque-là, ce qui m'avait permis de ne pas me faire attraper à mon tour. Et cela m'avait menée jusqu'à Tyler et Skye. Maintenant, je les avais, eux. Était-ce ce que je voulais vraiment ? Rester là avec eux, à ne pas bouger que de temps en temps, à devoir rester avec des gens qui venaient de perdre pas mal d'entre eux ? J'étais du genre à toujours vouloir rester en mouvement, mais cela ne m'empêchait pas de ne pas savoir ce que je voulais réellement faire, maintenant. Nous avions trouvé la cohorte. Et je savais pertinemment que Skye et Tyler allaient resté avec eux, si je décidais de partir. Je ne leur demandais même pas de m'accompagner en fait, parce que je savais à quel point c'était fou, insensé, voir même suicidaire. Et de mon côté ... J'étais juste totalement incapable de prendre une décision dans l'immédiat. J'allais peut-être attendre quelques jours, me laisser le temps de mettre tout cela au clair dans mon esprit, et puis, ensuite seulement, j'aviserai. Mais pour l'heure, ce que je voulais, c'était essayer de parler avec Skye, sans lui donner des envies de meurtre. Elle n'avait plus très envie de m'adresser la parole ces derniers temps et dans le fond, je pouvais le comprendre. C'est pourtant elle qui vint me voir la première, et je l'accueillis avec un grand sourire. C'était la seule chose que je puisse faire, pour l'instant. « vas te faire voir chez les grecs, tout est arrivé tellement vite ... », répondis-je dans un murmure, en balayant l'espace autour de nous d'un bref regard. Nous avions eu une chance inouïe de tomber sur eux avant qu'ils ne quittent la ville. Nous ne les avions pas rencontrés dans les meilleures conditions qui soient, mais c'était mieux que rien. « Tout va bien. », lançai-je en la regardant de nouveau, légèrement soucieuse. Je m'en voulais de ne pas lui accorder plus d'explications, de ne pas flancher une bonne fois pour toute et de ne pas juste rester là, avec eux. Mais en même temps, je ne pouvais pas me décider à abandonner Sean, c'était plus fort que moi, c'était mon objectif, depuis le départ, et bien avant eux. « Je ne sais pas du tout. » Je passai une main dans mes cheveux, légèrement mal à l'aise, avant de me mettre à jouer avec la terre du bout de mon pied, le regard perdu sur le sol. Je redressai la tête rapidement, pour pouvoir planter mon regard dans le sien. « Je vais me laisser quelques jours de réflexion, pour ne pas prendre de décision précipitée et irréfléchie. », conclus-je. Après tout, elle méritait de savoir ce que je prévoyais. Bon, ce n'était pas grand chose, mais c'était tout ce que je pouvais lui accorder pour l'instant, puisque c'était tout ce que je savais déjà.

(c) AMIANTE

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Contrairement à ce que semblait penser Skye, j'avais parfaitement conscience de tout ce que cela représentait. Je n'étais pas idiote et je savais que partir à la recherche de Sean relevait du pur suicide. C'était comme partir à la recherche d'une aiguille dans une botte de foin : long, douloureux, et plein de mauvaises surprises. Mais en même temps, même si je voulais plus que tout continuer à avancer et aider à tous nous tirer de cette horreur, je ne savais pas comment faire. Je ne pouvais pas juste me lever un matin et décider de tout arrêter sur un coup de tête. J'étais à la recherche de Sean depuis si longtemps. C'était devenu ma routine et si Skye et Tyler avaient réussi à s'y intégrer, je n'étais pas prête à tout laisser tomber. C'était beaucoup, beaucoup plus compliqué que cela. Pour autant, j'étais prête à faire un effort, à me laisser quelques jours pour y repenser encore et encore. Je n'étais pas certaine des conclusions auxquelles tout cela allait me mener, mais l'essentiel était que j'essaye ... N'est-ce pas ? Et puis, je devais bien avouer, aussi, que je n'étais plus certaine de pouvoir supporter la froideur de Skye. Nous nous entendions si bien, au départ. Mais c'était avant que je persiste dans mes objectifs. Oui, je pouvais la comprendre. Tout ce qu'elle voulait, c'était survivre et faire en sorte que son frère aussi. J'étais juste ... Un facteur de risques. Une amie, peut-être, mais surtout un danger pour elle et son frère. Skye était une amie, peu importe tout ce qui s'était passé entre nous. Je répondis donc à son sourire avec plaisir, même si notre échange restait tendu, gêné même. Nous n'étions pas d'accord sur bien des points, et c'était sans doute ce qui nous maintenait désormais à distance. J'étais trop optimiste, peut-être. Ou trop têtue, allez savoir. « Je sais que mes chances sont minces. Mais je ne peux pas laisser tomber comme ça. Je ne peux pas le laisser tomber comme ça. Il m'a sauvée la vie, et c'est ... Tout ce que je fais depuis le début de tout ça. », tentai-je de m'expliquer, toujours un peu maladroite.

Je détournai le regard en même temps qu'elle, en direction de Tyler. Était-il possible que ce qu'elle me disait était vrai ? Tyler ... Le béguin pour moi ? Ce n'était pas possible. Mais cela ne devait pas m'empêcher de faire face à la réalité des choses : je prenais un risque énorme en voulant repartir sur les routes. La cohorte allait peut-être continuer à bouger, en effet. Il fallait que je me renseigne, cela allait peut-être m'aider à me décider. Parce que je devais tout prendre en compte, histoire d'éviter un maximum les risques inutiles. « Merci de ... Me dire tout ça, Skye. », dis-je finalement, en me tournant vers elle. Il n'était pas nécessaire que je reparle des soit-disant sentiments de Tyler, hein ? Ce n'était ni le lieu, ni le moment. Il fallait que je prenne une décision, et ce n'était pas en me mettant des trucs comme ça en tête que j'allais me sortir de là. « Je te promets d'y réfléchir, et d'envisager toutes les possibilités. Je sais que c'est prendre des risques inutiles de repartir. Si la cohorte continue à bouger alors ... Peut-être que je pourrais essayer de le retrouver en restant ici. Avec toi, et ... Avec Tyler. », la rassurai-je, ma main désormais posée sur son épaule, dans une énième volonté de la réconforter. Je ne savais pas toujours trop comment m'y prendre, que ce soit avec elle ou avec les autres. Mais avec elle en particulier, parce qu'elle avait Tyler, et qu'elle était prête à tout pour lui. « Et je te promets aussi que si je décide de partir ... Je ferais en sorte qu'il ne vienne pas, d'accord ? », lançai-je en jetant un bref regard en direction de Tyler. Bref, parce que les mots de Skye flottaient toujours dans mon esprit, troubles et perturbateurs au plus haut point. Cela ne m'empêchait pas, pour autant, de totalement penser ce que je venais de lui dire. La dernière chose que je voulais, c'était mettre Tyler en danger, et séparer ces deux-là.

(c) AMIANTE

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Je ne suis pas encore totalement certaine de ce que je veux faire. Dans un sens, je peux carrément concevoir le point de vue de Skye, et comprendre pourquoi elle me demande, voir même me supplie de rester avec la cohorte, et elle et son frère. Mais en même temps, je ne sais pas si je suis capable d'abandonner Sean, de tout laisser de côté pour ma propre survie. Je sais que je n'ai que peu de chances de le retrouver un jour et puis, de toute façon si l'impensable venait à se produire, dans quel était le retrouverais-je ? Il ne serait plus lui-même, et je le sais parfaitement ... Mais accepter quelque chose du genre me paraît tout simplement impossible. Sean a tout représenté pour moi pendant une longue période de ma vie, et je devrais le laisser pour être en sécurité, alors qu'il s'est sacrifié pour moi ? Avouez que c'est quand même difficile à accepter, même si je me doute que je suis très, très tentée. Pas par le côté "abandon" de la chose, mais pour le fait de rester en sécurité, avec deux personnes que j'apprécie énormément. Ils sont ma seule famille désormais et le choix que j'ai à faire est loin d'être simple ... " Je ne pourrais pas vous laisser faire ça, Skye ... " Elle doit bien s'en douter, non ? Risquer ma vie, c'est une chose. Mettre en danger celle de Skye et Tyler en est une autre. Le choix que l'on me laisse est définitivement ... Horrible. Entre mon envie de retrouver Sean et, en quelque sorte, de payer ma date, et celle de ne pas faire prendre de risques inutiles à mes amis, je suis complètement perdue.

Et heureusement pour moi, Skye le sait très bien. Elle ne cherche pas à me brusquer, même si j'ai conscience qu'elle meurt d'envie que je lui dise que je veux rester là, et que je le décide tout de suite. Mais je ne peux pas. Il faut que j'y réfléchisse, que j'envisage toutes les options et peut-être aussi, dans un sens, que je fasse mon deuil de Sean. Si je me suis voilée la face pendant des mois et de mois, je sais bien, dans le fond, que je ne le reverrai sans doute jamais. " Mais merci Skye, je n'oublierai pas de venir te voir si j'en ressens le besoin. " Je réponds, un sourire flottant sur mes lèvres, avant de la serrer dans mes bras à mon tour. J'avais presque oublié à quel point cela pouvait être agréable d'avoir des personnes sur qui compter, et me reposer. Oh, bien, cela fait un bout de temps que je suis avec Skye et Tyler et aussi que je peux leur faire une confiance aveugle, mais cela faisait aussi pas mal de temps que nous étions en froid, Skye et moi. Et avec Tyler et bien ... Cela n'a jamais été pareil. Parce que je n'ose pas vraiment aller vers lui, par peur de lui donner de faux espoirs ou ce genre de trucs. Je suis trop perdue pour prendre le risque de le mêler dans mes pensées tordues, incompréhensibles et totalement embrouillées. Je tiens trop à lui pour ça.

Je souris face à son changement de sujet soudain. Elle me connaît parfaitement, et c'est l'une des choses que j'apprécie le plus avec elle. Elle fait toujours en sorte de ne pas me mettre mal à l'aise, ou en tout cas jamais trop longtemps, et réussit à la perfection entre les sujets sérieux et ceux qui nous accordent un peu plus de détente. " Oh oui, il serait même carrément temps que tu saches utiliser cette arme. Quoi qu'en même temps, je suis quasiment certaine de tirer aussi mal que toi, voir même pire ... " J'avoue en souriant, parfaitement sincère. Parce que j'ai beau la sortir de temps à autre pour impressionner d'illustres inconnus, je suis une très mauvaise tireuse. Bon, j'arrive quand même à viser des têtes quand ma vie est en danger, ce qui est un plus considérable. " Bah écoute ... J'ai vu quelques enfants, donc pourquoi pas ? " Je jette un regard autour de nous. Là, il n'y en a aucun, mais il n'y a pas de raisons : il doit bien y avoir quelques gosses qui ne doivent surtout pas rouiller niveau cours, et tout ça. " C'est moi qui vais finir à la corvée de linges ... Qui voudrait d'une psychiatre à moitié suicidaire ? " Je rigole légèrement, en faisant, bien sûr, allusion, à mes envies folles de fuir la cohorte pour partir dans une aventure presque perdue d'avance. Enfin, je m'en suis quand même sortir pendant plus d'un an, alors de là à dire que je n'ai aucune chance de survie ... Mais bon, mieux vaut en rire qu'en pleurer, non ?

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Je lui souris et ne réponds rien. Il n'y a plus rien à dire, elle doit maintenant prendre sa décision. J'espère qu'elle a toutes les cartes en main pour cela. Je ne veux plus que l'on se dispute, je ne veux plus lui en vouloir. Nous avons trouvé la cohorte et j'espère que nous allons rester avec elle, mais s'il le faut… et bien, je l'aiderai.
Notre étreinte me redonne le sourire et je tente de changer de sujet pour nous dérider un peu. Je me mets à rire quand elle confirme mon besoin d'apprendre à me servir de mon pistolet. Depuis que j'ai trouvé cette arme, je la garde avec moi, comme pour me rassurer, même si je suis totalement incapable de m'en servir et que de toute façon, elle est déchargée. Son poids dans ma main ou dans mes affaires, me donne un peu de courage quand je me sens en danger. Même si je n'ai jamais eu à la faire, j'espère qu'elle donnera l'illusion si quelqu'un devait chercher à s'en prendre à moi. Ce risque-là s'est atténué avec notre arrivée dans la cohorte, mais rien n'est encore fait. Vu l'attaque qu'ils viennent de subir, aucun de nous n'est jamais réellement en sécurité…

Je lui parle de mon métier et hausse les épaules à sa réplique. "Je ne sais pas, qu'est-ce que je pourrais bien leur apprendre ? Il n'y a aucun matériel, aucun livre… il faut que j'y réfléchisse… je dois bien pouvoir trouver un moyen de me rendre utile et de les occuper un peu…"
Je pose ma main sur son bras en souriant à sa réflexion. "Je pense qu'ici tout le monde aurait besoin d'une bonne thérapie… mais peu d'entre eux l'admettraient. Regarde moi, je ne t'ai jamais laissée me psychanalyser et ça fait pourtant plus d'un an qu'on se connaît !"
Il y avait une partie de moi que je n'avais jamais dévoilé à Pandora, une part de mon histoire que je n'avais pratiquement jamais évoqué. Lors des longues soirées que nous avions pu passer ensemble, c'était toujours Tyler qui faisait la conversation. Bien sûr, nous avions beaucoup parlé, elle connaissait toutes les anecdotes de notre enfance et de notre adolescence, mais peu de choses sur ma vie avant l'invasion. C'était des souvenirs que je cherchais moi-même à oublier et ne pas en parler faisait partie du processus. Mon regard se perdit vers les soldiers qui sécurisaient le périmètre. Il y avait de quoi ne pas se sentir encore parfaitement en sécurité.
"Il paraît que nous allons être ausculté par un médecin, d'après ce que j'ai entendu… pour s'assurer que nous sommes bien… humains. J'imagine qu'après ce qui leur est arrivé, ils vont être encore plus prudents. Nous ne sommes pas forcément arrivés au meilleur moment…."
Je lui souris pour essayer de dédramatiser et hausse les épaules.
Des cris enfantins résonnent un peu plus loin et mes instincts d'institutrices se réveillent."Je vais voir si j'arrive à me rendre un peu utile, on se retrouve plus tard, ok ?"
Je m'éloigne en lui faisant un petit signe de la main pour rejoindre les enfants que j'ai entendu. J'espère que cette discussion lui aura fait du bien et l'aidera à prendre la meilleure décision possible. Je ne peux plus rien faire à présent, à part attendre… mais j'ai confiance en elle. Elle fera ce qu'il faut… j'espère…

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La situation est complexe, et je ne peux que me sentir heureuse d'avoir à faire à une personne comme Skye. Elle sait accepter le point de vue d'autrui, même si cela lui a demandé du temps, pour accepter le mien. Elle doit bien réussir à se mettre à ma place, et à imaginer comment je pourrais laisser tomber une personne aussi chère à mon coeur. Je ne sais pas encore ce que je vais faire, ni même ce que je dois faire. Parce que le choix que j'ai à faire est loin d'être simple, et que je ne peux pas m'empêcher d'envisager les deux options. Cela va forcément être compliqué, mais il faudra bien que je le fasse, à un moment ou un autre. Pour l'instant, nous venons tout juste d'arriver dans la cohorte, et je me convaincs tant bien que mal que ce qui compte, c'est de les aider à se remettre de ce qu'ils viennent de traverser. Je pourrais très bien prendre une décision définitive ... Plus tard. Oui, plus tard, c'est le mieux à faire. Définitivement. Et elle a parfaitement raison, il faut aussi que l'on trouve un moyen de se faire une place ici. Nous ne pouvons pas rester avec moi sans qu'il n'y ait aucune contrepartie en échange.

Elle n'a pas totalement tort, réussir à intégrer notre boulot de base dans la cohorte ne va pas être simple. J'ai vu quelques enfants et pour moi, il semble évident que Skye peut les aider, en les occupant, notamment. Ce ne doit pas être simple du tout, pour eux, de vivre dans cet univers, qu'il ne comprenne sans doute pas le moins du monde. Les tenir éloignés de tout cela me paraît plus que nécessaire, mais comment faire dans ces conditions ? Ils ont bien vu tout ce qu'il s'est passé, ces derniers jours. Ils ne peuvent pas être dupes à ce point. Il est tout simplement impossible de tout leur cacher. Quant à moi, et bien, je ne vois pas trop comment je pourrais aller vers les gens et leur proposer une thérapie. De toute façon, je suis psychiatre, pas psychologue. J'ose espérer qu'aucune des personnes ici ne souffre de schizophrénie, de sociopathie, ou d'une maladie dans le genre. Je ne pense pas qu'ils aient besoin d'un problème supplémentaire, ils en ont déjà assez à supporter.

Je hausse les épaules et tourne la tête pour regarder à côté de nous. Les soldiers font leur ronde habituelle, à la recherche d'une quelconque faille dans leur système de sécurité. Je me doute bien que rien de tout cela n'est parfait, et je comprends parfaitement leur inquiétude. De nos jours, on ne peut être sûrs de rien, et encore moins de quelque chose qui soit aussi fragile ... J'écoute attentivement Skye, qui me parle d'une auscultation à venir. Dans le fond, ça ne m'étonne pas vraiment. Il est normal qu'ils veuillent s'assurer de tout cela, et tout particulièrement après tout ce qu'il vient de leur arriver. J'aurais, sans aucun doute, agit de même à leur place. Je hoche la tête et plante de nouveau mon regard dans le sien, l'esprit dans le vague. Je ne sais toujours pas ce que je dois faire, et ça va sans doute me travailler jusqu'à ce que j'en ai une idée précise. " Ok, bon courage. On se voit plus tard. " Je lui souris une dernière fois, avant de tourner les talons et de m'éloigner à mon tour, à la recherche de quelque pour m'occuper ... Pour oublier.

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