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 People die all the time. Why not me ? | Duke

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MessageSujet: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 9:23

DUKE WALSH
❝ feat RICHARD ARMITAGE ❞

#SUBJECT IDENTITY
SOLDIER
(Soldat – Éclaireur)

NOM : WALSH.
Prénom(s) : Duke.
Né le : Vingt-trois Novembre 1975. (37 ans)
Sexe : Masculin.
Taille : Un mètre quatre-vingt-sept.
Cheveux : Bruns foncés.
Yeux : Bleus.


Originaire de Flagstaff, une ville du nord de l’Etat d’Arizona. il était major dans l’US Marine Corps avant le grand désastre actuellement dans la cohorte, il tient le rôle d’éclaireur principalement, étant bien plus à l’aise avec une arme, dans un recoin sombre plutôt qu’avec d’autres êtres humains. C’est aussi, et évidemment, un soldat hors pair, de ceux qui savent contrôler leur respiration pour pouvoir atteindre la cible voulue. Assez débrouillard, il s'en sort plutôt bien dans ce chaos complet il peut s'estimer heureux d'être doué pour tuer les cibles à longue portée, la survie, obéir aux ordres et pour être aussi calme qu’un moine tibétain alors que les aliens zigouillent tout le monde autour. malheureusement il est également devenu, d’apparence, insensible aux combats, comme une machine. Si tu hésites à achever un alien à l’agonie parce que la pitié te prend soudain à l’âme, Duke, lui assènera une balle dans sa caboche d’extraterrestre plus vite qu’un américain se jette sur un cheeseburger. Il est aussi un peu trop ambigüe sur son comportement en société, si bien que personne n’arrive vraiment à le cerner mais ça l’amuse d'entretenir l'épaisse couche de mystères qui l'enveloppe. Il a également une haine féroce à l’encontre des aliens et des hosts, pouvant influencer ses choix, de manière négative, ce qui n'est pas toujours simple à vivre au quotidien pour finir, il est loyal, calme, intelligent, protecteur, sympathique (quand on passe outre son regard de tueur et ses répliques sarcastiques) discret et altruiste de nature mais aussi froid, maniaque (du genre à nettoyer ses armes vingt fois par jour, même aux toilettes) impulsif (sur certains sujets) violent, blessant, sarcastique, personne n'est parfait que voulez-vous !


MY STORY
all the things that make me who i am




« CONTACT ! CONTACT ! A six heures ! SIX HEURES ! »
Mon corps tombe à la renverse, désarticulé, quand j’entends les cris des soldats derrière moi. Simple habitude de se coller à la terre, au sable fin, dès qu’un ennemi se fait voir, même loin. J’ai déjà perdu un nombre incalculable d’amis parce qu’ils ne s’étaient pas mis à l'abris assez vite. C’est idiot n’est-ce pas ? L’instinct de survie. Et pourtant moi, je suis calme. Ils paniquent tous, sortent tous leurs gros calibres et se préparent à faire feu. J’ai les lèvres qui trempent dans les grains orangés d’Irak. « Lieutenant, contact, tireur embusqué ennemi. Je n’arrive pas à évaluer sa distance. » Turner a toujours le même tique quand le stress et la peur le paralyse. Il compte. Je ne sais pas ce qu’il compte. Mais il le fait actuellement, entre deux phrases sur les ennemis qui se trouvent sur le flanc de la colline, en face de nous. Je me traine à terre, aussi vite que mes vingt kilos d’armes, de munitions et d’équipements me permettent d’aller. Nous sommes protéger par une minuscule dune, le convoi ne tiendra pas si les snipers ne sont pas neutralisés. « Turner, prend-le Barret, je vais t’aiguiller. »« Vous êtes sérieux, Lieutenant ? Je pense pas… »
Je mets en évidence mon dos, où se trouve l’imposant fusil de précision démembré. « Dépêche-toi si tu veux pas crever. » Un autre tir ennemi surgit dans les airs, le sifflement de la balle perce mes tympans. L’impact explose le pare-brise d’une des voitures de notre convoi. Un convoi de ravitaillement pour une base perdue dans le désert Irakien. Je comprends pourquoi on nous a mis sur cette mission, mon unité et moi. Je tire par le bras mon coéquipier.
« Si je rate, on est mort ! Alors il faudrait mieux que vous… » Je lui donne une petite tape sur son casque, qui tombe sur ses yeux de fouines.
« J’pensais que tu voulais monter en grade, non ? Si tu tues personne, ça risque pas d’arriver. » Je lui lance un petit sourire faussement moralisateur et sérieux. Il racle sa gorge alors que les tirs de ripostes se perdent dans l’écho des montagnes qui nous entourent. Je sens un poids en moins sur mon échine, mes yeux craquent alors que le soulagement laisse place à la concentration. Je sors les jumelles militaires spéciales accrochées à ma ceinture puis je me hisse à la limite de la dune, espérant être toujours à couvert. Turner assemble l’arme en transpirant, j’entends ses mains glisser sur l’acier froid du fusil. Je regarde devant moi, plisse les yeux mais ils sont bien trop loin, même pour mes yeux entrainés. Les jumelles sur mon nez, je zoom et repère rapidement une silhouette dans une vieille cabane en pierre, la lunette de son fusil le trahit dans un scintillement facilement reconnaissable. Il tire. La balle me siffle dans les oreilles, ce qui me rend sourd pendant quelques secondes. Un homme est touché, derrière moi. Les cris des hommes est plus lourd. Mais je n’entends rien. Juste des bruits sourds.
« Putain, putain, putain.Turner, magne ! »

Un léger fil de sang s’écoule dans mon oreille droite alors que je la recouvre dans un espoir stupide de guérison instantanée. Il se glisse à mes côtés, couvert de sables en haletant. L’arme assemblée, il pose le bi-pied et cale la crosse sur son omoplate. Il vise. Mais ne vise pour l’instant rien. « Huit cent cinquante mètres. Première fenêtre à droite. » Tire. Manqué de quelques centimètres. Rechargement. « Un peu plus sur la droite. » Nouveau tire. « Cible touchée, je répète, ennemi à terre. » Ma voix grave retentit dans les ondes de notre radio portative. Pourtant, nous avons abattu le coupable de ce traquenard mais un silence de mort s’installe parmi nous. Ma tête se repose lourdement dans le sable fin alors que Turner lâche l’arme et s’étale non loin de moi en soupirant. Un long soupire. « Putain, Lieutenant, ça va emmerde pas que je vous vole la vedette cette fois ? » Je souris et lui donne un coup de coude. C’est vrai que d’habitude, dans cette unité, je suis celui qui sauve les miches des autres, avec mon Barret M82. Peut-être que pour cette fois, je voulais laisser Turner défendre sa vie avec ses propres mains.

Je ne sais pas. J’ai du mal à me comprendre quand l’adrénaline des combats envahit mon lobe frontal et me dicte mes actions. Duke, tue-les. Duke achève-les. Duke, derrière-toi, sors ton couteau et poignarde-le. Duke, arrête de réfléchir aux conséquences et sois un soldat. On dirait mon père, cette petite voix. Cette soif incontrôlable de guerre. Parce que pour me retrouver à nager dans le désert Irakien, ça ne pouvait qu’être sa faute. Mon père était un vieux flic de la vieille. Un vieux roublard qui m’a élevé avec une arme entre les mains. Comme c’est si souvent le cas dans notre Amérique. Avant même de savoir on procréait, je savais tous les types d’armes qui existaient. C’est pour protéger ta famille et ta patrie. Vieux fou. Je ne tire pas sur une ambulance. Certes, je suis très bien entrainé à tuer maintenant grâce à lui mais c’est bien une éducation ratée pour un père coincé dans le passé. Il a rencontré ma mère au poste de police où il travaillait. J’ai eu des tonnes d’anecdotes à ce sujet pendant les repas de Noël. « Ta mère était une droguée ! Je l’ai remise sur le droit chemin. » « C’est sûr que ton alcoolique de père était l’homme le plus parfait sur terre. » Mes parents s’engueulaient une fois par jour. Mais depuis trente ans, ils ne se lâchent pas. De la maison à Flagstaff où j’ai marché pour la première fois, à Boston où j’ai vécu une grande partie de ma vie, ils sont toujours restés soudés. Un couple qui nage dans le passé, mais je les envies.

Regarde-moi. J’ai l’oreille droite en sang, le visage complétement ensablé - les grains se faufilant dans les endroits qui fâchent. Je suis célibataire. J’imagine. Je suis en Irak depuis deux ans maintenant, les seules nouvelles que j’ai de ma vie civile, ce sont les lettres de ma mère, qui, il y a jusqu’à quelques jours, étaient accompagnées de celles de ma petite-amie. Je crains que mon dévouement pour mon pays n’ait mis un terme à ma vie amoureuse. En même temps, quelle femme supporterait un homme passant son temps à faire la guerre à l’autre bout du monde, oubliant la majeur partie du temps de répondre aux lettres. Je les comprends. A peine rentré d’Afghanistan après trois ans, je repars pour l’Irak. Je me réengage. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je me relève, glissant sur le sable irritant et j’observe les soldats du convoi s’activer pour réparer la taule froissée et faire repartir le tout le plus vite possible. Histoire de ne pas retomber dans un piège idiot. Turner se lève à son tour pour se dresser à mes côtés, sur le flanc abrupt de la petite dune. « Dites, Lieutenant, vous voulez pas rentrer chez vous ? » Je le regarde, impassible. Est-ce que je veux vraiment rentrer ou être ici, au milieu de nulle part pour une guerre inutile me plait tant que ça ? Je lui tape l’arrière du crâne en pestiférant un simple « Avance. » Ma simple poussée lui fait détaler la dune pour s’écraser contre le pick-up militaire. On essaye de rire. Mais le corps de l’un des nôtres recouvert d’un drap blanc tacheté de rouge nous ramène à la réalité. Je ramasse mon fusil et descend à mon tour. On repart. Et le ciel céruléen ne nous épargne d’aucune souffrance.



« Qui êtes-vous ? » « Son meilleur ami. » Je le regarde alors que l’infirmière semble comprendre puisqu’elle finit par se retirer en hochant la tête tristement. Je déteste ce regard de pitié. Turner doit détester ça aussi. Je souris alors que je repense aux mots qui viennent de s’extirper de mes lèvres. Meilleur ami. C’est lui qui, pendant nos quatre ans passés ensemble sur deux guerre différentes, ne cessait de brailler que nous étions dans une « bromance extraordinaire. » Mais moi, je ne faisais qu’ignorer ces plaisanteries et la plupart du temps, il riait tout seul. Mais ça ne l’empêchait pas de rire. Et maintenant. Regarde-toi, crétin. Vouloir jouer au héro. Sauver ton lieutenant en prenant une balle à sa place. Un légume, tu n’es plus qu’un putain de corps inerte dénué de vie. Je lui attrape sa main. « T’as maigri, non ? La bouffe d’hôpital, ça doit être dégueulasse. » Son bandage crânien me donne des envies de meurtres, à chaque fois que je le vois. « Tu sais qu'on m'a nommé Major ? » Si seulement j’avais pu faire plus attention, que je n’avais pas laissé ma soif de combat m’envahir. Il n’aurait pas pris une balle, même balle qui finit sa trajectoire dans mon épaule. Je n’ai rien. Une petite cicatrice.

Une cicatrice contre un corps ravagé. Pour une même balle.



« R.A.S » Mon souffle s’accélère au fur et à mesure que mes pas me conduisent de plus en plus loin dans la Red Line. On entre en zone hostile. On entre dans leur monde. Un monde qui était le nôtre il y a quelques mois. Et maintenant, nous sommes comme des rats, condamnés à nous cacher dans les bas-fonds de la planète, dans les égouts, les métros abandonnés. Cincinnati, c’est là que j’ai trouvé, après deux mois d’errance solitaire, avec comme seul compagnie mon fusil de précision, les premiers humains. Je ne pensais pas qu’il y avait une résistance, vu l’omniprésence des hosts. On m’a endormi lorsque je me suis présenté à eux et ils m’ont conduit à Red Line, le quartier général. Une organisation archaïque mais qui fonctionnait depuis des mois. Le fait de me savoir Major dans les Marines les a immédiatement rassurés quant à mes capacités. Moi, tout ce que je voulais, c’était défendre le monde. C’est peut-être un peu utopique, certes. Les hosts, je déteste ça. C’est toujours un plaisir pour moi de les envoyer dans l’au-delà. Après tout, ils ont pris mes parents, mes amis, mes frères de la marine. Turner est mort dans les bombardements des envahisseurs, au tout début de l'attaque. Je ne peux plus lui rendre visite une fois par semaine comme je le faisais. Mais au moins, lui, ne s’est pas vu chassé de son propre corps par ces connards.

Je prends une large bouffée d’air alors que je fais signe aux compagnons derrière de s’arrêter, d’un geste de la main. Nous arrivons au bout du tunnel sombre et humide. La vie est en haut apparait. Je colle mon œil à ma lunette de visée nocturne. Je ne prends jamais de risque. Surtout pas avec eux. Surtout pas eux, qui nous ont réduit en poussière en l’espace de quelques semaines. J’ai survécu, je ne sais même plus comment. En tuant. Comme je l’ai toujours fait. J’ai tué des vingtaines d’hosts avant mon arrivée dans la cohorte. Aussi humain qu’ils veulent paraître. Je sais. Je sais qu’il n’y a aucune humanité. On tremble tous. Juste pour aller chercher des vivres dans le patelin paumé du coin. Même les bouseux sont des hosts.

« Major, est-ce qu’on doit liquider tout le monde ? Je veux dire… » Un jeune adolescent, aussi sale qu’un cochon qui vient de prendre son bain de boue se colle à moi. Je sais qu’il a peur. N’importe lequel d’entre nous pourrait se faire capturer. Ou pire. Tomber sur l’un de nos proches qui n’est plus qu’une coquille habitée par un parasite. Les jeunes me surnomment Major. Ça les rassure, me dit-on. Je sors du tunnel et observe de mon nid d’aigle les environs. Le village semble tranquille. Mais un engin aérien qui tranche soudainement le ciel en deux juste au-dessus de nos têtes me rappelle à l’ordre. Aucun endroit sur cette planète n’est tranquille. « Bon, venez ici. » Je rassemble les troupes. Deux gamins qui ont la moitié de mon âge et un vieux vétéran. « Je vous couvre d’ici, vous devez rester dans mon champ de vision, ok ? Si je repère un alien qui vous menace, je l’abats et il faudra se tirer rapidement. » Ils m’écoutent. Je suis calme. Ma voix grave ne reflètent aucunement le chaos de mon âme. Si jamais ils se font capturer ? S’ils meurent à cause de ces pseudos ordres que je viens de leur donner sans aucun droit ?

L’adrénaline m’envahit. Je ne pense plus. Je vise et je surveille.


BEHIND THE CHARACTER
the real "me"
HELLO \o/ Yé souis oune madame de vingt années, on me surnomme Sha, surnom qui n’a rien à voir avec mon prénom mais mes amis sont bizarres. J’aime regarder des films, des séries. Lire des livres, des BD, des mangas. Ecouter de la bonne musique (un peu de tout !) Je fais du rplay depuis quelques années maintenant, je suis trop une guedin. Pour le forum, je l’ai connu par hasard via Bazzart alors qu’une amie surfait dessus. J’ai chopé l’adresse sur google et youplaboum ! Parce que bon, il défonce du pâté l’petiot. What a Face


Dernière édition par Duke Walsh le Ven 21 Déc 2012 - 22:02, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 9:26

Tu es hot et tu es un Soldat éclaireur et on a le même âge à une vache près 8)
Je veux un lien :fouet:

Si tu as des questions sur le contexte du forum en général dont les réponses ne figurent pas dans les textes, tu peux trouver un Foire aux questions ici
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 9:39

Chanque you monsieur HYPRA magnifique. (non seriously, WORTHINGTON. on le voit pas assez.) :wouhou:

Et pas de problème pour le lien. C'est exactement ce que je me suis dis en lisant ta fiche : « Y'A MOYEN. » parce que les deux militaires, itout l'bordel. HEIN.
What a Face

et je kiffe Johnny Cash dans ta signature;
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 9:48

Fuck yeah en plus Duke était un Marine et aaron un soldat de l'armée de terre ! ils seront rivaux. 8)
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 9:57

Je plussois Aaron :pervers:
Moi aussi je voudrais un lien :gni:
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 10:06

Moi aussi je veux un lien et tu n'auras pas le choix!><
Richard quoi.. mon fantasme qui est tellement rare sur les forums! :brille:


Dernière édition par Thomas D. Leonard le Ven 21 Déc 2012 - 12:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 12:44

Bienvenue sur le forum :)

RICHAAARD :lit: (ahem désolée XD)

J'aime beaucoup les citations dans ta signature, il se pourrait que je te harcèle pour un lien dans le futur ^^
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 14:16

Bienvenue and OH MY GOD RICHARD :love2:
Bonne chance pour ta présentation et à très bientôt sur le forum j'espère :pervers: *out*
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 14:32

han mais merci à vous tous ! vous êtes tellement ... :heart: :heart: :lit:
je suis contente que richard plaise (après tout, c'est richaaaard.)

Je vous réserve un lien, à vous tous, en particulier les SOLDIERS. FUCKYEAH. :yeah:

(aaron > LES MARINES :langue: )
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 15:25


Han Richard :brille: Mon chouchou !!! (bon après la nuée de fans qui a déjà posté sur ta fiche, ça fait réchauffé :carton: ) mais... RICHAAAAAAAAAAAAAAAAARD :aah: :aah: :aah:
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 22:05

MAIS JE T'EN PRIE. fangirlise, fangirlise.
je suis personnellement une grande fan de McAdams, donc il nous faudra un lien.

:lit:

et j'ai finis ma fiche. \o/.
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J. Hale Floyd
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 22:52

Ta fiche est juste tellement trop cool que voilà j'en perd mes mots :hm: ( mis à part que tu fasses des trucs bizarres dans les toilettes j'veux dire What a Face ) du coup :

TU ES VALIDÉ(E)
Félicitation et bienvenue sur Invaders !
Maintenant que ta fiche a été validée, le staff va se charger de te donner ta couleur et ton rang. Ton avatar sera recensé dans les plus bref délais. A présent tu peux t'occuper de ta fiche de liens ici et de ton almanach des rp ici. Pour toute question le staff est à ta disposition par mp ou sur la box si l'un de nous est connecté.

On te souhaite un bon amusement sur le forum ! À très bientôt ! ♥️
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke EmptyVen 21 Déc 2012 - 23:02

HAN MERCI \o/

:calin:
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MessageSujet: Re: People die all the time. Why not me ? | Duke   People die all the time. Why not me ? | Duke Empty

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