Après plusieurs mois, Elizabeth n'était plus qu'en compagnie d'étranger. En plein en Ohio, c'est à peine si elle arrivait à se rappelé de comment elle était arrivé jusque là. Fuir à gauche puis fuir à droite, on passe de Chicago à Colombus. Elle était en plein centre ville depuis un moment avec quelques survivants, coincé dans un sous-sol de bloc appartement très humide. Le seul point fort à cette cachette humide, sale, sombre et froide, c'était qu'il y avait encore de l'eau potable et que les aliens n'aiment pas traîner dans ce coin là.

Coincé là, avec une bande de rigolo et de bras cassé. Il y avait entre autre 3 personnes nécessitant des soins de plus en plus urgent. C'est pourquoi Elizabeth était sortis cette nuit là. Une fillette fiévreuse, une femme à l’omoplate percé par une tige d'acier et un homme blessé à la jambe. L'homme s'appelait Joe, il accompagnait Elizabeth en ville cette nuit pour trouvé de la médication que seul Elizabeth connais.

C'était le milieu de la nuit, peut-être 2 ou 3 heures du matin. Ils étaient allé en douce en plein coeur de la ville, dans une pharmacie relativement grande et importante.


Joe et Elizabeth entrèrent par la porte arrière que Joe mit quelque minutes à enfoncé à grand coup d'épaule. Discrètement, tout les deux se faufilèrent, accroupis dans la pharmacie. Des bureaux, des endroits vider, ils ne cherchaient rien d'autre que la salle des médicaments tenus sous clé. Les plus important autrement dit.

Essayant poignée de porte après poignée de porte, tout les deux se tenais ensemble, côte-à-côte. L'endroit était sombre, seul les rayons de lumière émis par les mech faisant des rondes, projetait de temps à autre, des rayons de lumières par les trous des barricades mis aux fenêtres. C'était extrêmement risquer, mais ils n'avaient aucune autre option, toute les autres pharmacies du coin avaient été vider, il n'y avait que les endroits aussi hostile qui était demeuré intouchable.

Il eu soudainement un écho, un morceau de vitre qui se faisait écrasé et c'était ni Elizabeth, ni Joe. Ce son fut suivis d'un silence qui porta les deux survivants à se dépêcher. Ils finirent par trouver une porte de sécurité pour protéger la réserve. C'était la caverne d'Alibaba, l'endroit n'avait pas été toucher depuis l'invasion. Une vraie bénédiction, ou peut-être un coup de chance pur et simple. La loi du plus malin.

Elizabeth enroula du tissu autour de son poing et brisa délicatement la vitre, afin d'allé déverrouillé de l'intérieur. Néanmoins, ces portes ne fonctionne pas comme ça. Il faut une clé pour ouvrir dans les deux sens. C'est après une hésitation à partir avant d'avoir des problèmes, qu'Elizabeth retira toute la vitre du trou. Joe lui dit à voix basse, le revolver à la main :

- Qu'es-ce que tu fais ? On ne doit pas perdre de temps.

- Donne-moi un coup de main, je vais passer par le trou et je vais te passé les médocs par la fenêtre.

- C'est pas une mauvaise idée, mais bouge-toi. Il y a des bruits qui viennent de l'intérieur et ça n'a rien de rassurant, il faut foutre le camp illico.

Elizabeth vit alors du mouvement dans le petit hall menant aux bureaux, juste au coin. Elle dit froidement :

- On a pas tout seul.