Je choisis le package de départ n°7 : 1 tente + couverture survie + set d'objets rudimentaires + 1 couteau suisse + vivres
Elle fuyait depuis près d'une heure, se cachant dans les recoins sombres dès qu'elle le pouvait afin de reprendre son souffle. Mais ils étaient à ses trousses. Ils ne mettraient pas longtemps à la retrouver, surtout au bout milieu d'une ville telle que New-York. Si elle voulait survivre, elle devait s'éloigner. Traverser les campagnes silencieuses, mettre de la distance entre elle et la civilisation. Elle ne savait pas si elle était la dernière humaine en ville ou s'il y en restait d'autres, qui se cachaient comme elle le faisait depuis deux jours. Elle avait beau être bonne actrice, son petit jeu n'avait pas duré très longtemps. D'après ce qu'elle avait compris, le monde entier était touché. Elle avait cru, pendant quelques jours, être capable de rentrer chez elle. Elle avait suffisamment de volonté pour traverser l'océan à la nage si ça lui permettait de retrouver sa famille saine et sauve. Mais elle n'était pas idiote : elle n'était ni wonderwoman pour survivre à une telle folie et sa famille était sûrement morte ou implantée depuis bien longtemps. Peut-être ses parents n'étaient pas ses parents bien avant sa naissance. Son frère était peut-être une saleté d'alien depuis toujours. Comment savoir ? D'une main rageuse, elle chassa une larme brûlante qui lui brouillait la vue. Elle n'était pas une perdante. Elle survivrait, qu'importe le prix. Elle allait se bouger le cul et se sortir de ce bordel, qu'importe si elle devait finir sa vie seule et affamée. Qu'importe si elle devait massacrer une saleté d'alien pour quitter la ville. Elle ne se laisserait pas mourir aussi facilement. Oh, son père serait tellement fier d'elle aujourd'hui, elle n'en doutait pas un instant. Avec ses cheveux court à la garçonne, un sabre accroché au dos et une arme à la hanche. Une guerrière, qu'il dirait. En bon descendant d'une famille de samouraï qu'il avait été, pas de doute qu'il aurait changé d'avis en voyant son incapable de fille alors qu'elle tentait de survivre à l'apocalypse. Le flingue à la main, Hye Rah respira un grand coup et jeta un coup d’œil discret à la rue principale en prenant bien soin de rester cachée derrière le mur de la ruelle sombre. Tout n'était que lumière et... silence. Elle n'était à New-York que depuis trois mois mais la ville lui rappelait Séoul, avec le brouhaha constant et les jeux de lumière qui ne s'éteignaient jamais. Aujourd'hui, New-York lui rappelait une ville fantôme. Si seulement ça pouvait être vraiment le cas. Elle savait qu'ils étaient proches, très proches, trop proches.
Vas-y ma grande, bouges-toi avant qu'ils ne te mettent la main dessus. Elle raffermit sa prise sur son arme et étudia la rue une dernière fois. Elle se plia à moitié en deux et courus en silence, en se cachant derrière les carcasses de voitures. Ces engins ne fonctionnaient plus depuis l'invasion mais ils étaient assez utiles en tant que bouclier ou comme cachette. Dix minutes plus tard, elle se glissait dans un garage souterrain. Elle connaissait cette partie de la ville, elle connaissait le chemin qui permettait de ressortir à l'air libre, plusieurs rues plus loin. Ce garage, c'était une façon plus sûre que de traverser une rue en plein jour. Enfin, c'était ce qu'elle croyait. Elle se figea, stoppée dans son élan lorsque des bruits de pas se répercutèrent dans le sous-sol. Elle se glissa derrière un poteau, cessa de respirer, se força à rester totalement immobile.
« Hyerah ? » Nom de dieu... Son cœur rata un battement, le doute s'insinua sournoisement en elle. Cette voix... Non, c'était impossible. Elle l'avait vu se faire capturer. Elle ne pouvait pas être ici, pas vivante en tout cas.
« Hyerah, je sais que tu es là, je t'ai vu entrer ici. J'ai besoin de te parler ! » L'urgence dans sa voix la rendait presque humaine à nouveau. Mais si c'était un piège ? Mais si elle avait réussi à s'enfuir, à sauver sa vie ?
« Hyerah... » La coréenne sursauta et recula d'un pas en lâchant un couinement mêlant peur et surprise. Tournant la tête, elle aperçut la silhouette de son ancienne amie, se découpant dans la pénombre. Elle ne voyait pas grand-chose dans cette semi-obscurité, il fallait bien l'avouer. Mais elle reconnaissait cette silhouette. Elle reconnaissait cette voix.
« Katy... » « Hyerah, je t'ai cherché depuis cinq jours, je ne savais pas où tu étais, j'ai eu si peur ! » Elle lui sauta au cou, la serra contre elle dans une étreinte désespérée.
« Que... Comment tu as fait ? Je les ai vus t'enlever, je... » « J'ai profité d'un moment d'inattention pour m'enfuir. Ils ne sont pas si intelligents qu'ils en ont l'air Hyerah. Ils se pensent plus forts, plus puissants, plus malins mais ils ont tort ! » Elle ne comprenait plus rien. Si les aliens étaient si idiots et les humains si intelligents, pourquoi n'arrivaient-ils pas à les combattre ? Pourquoi tant de personnes étaient-elles mortes depuis trois jours ? Les pensées, les questions se bousculaient dans sa tête, l'empêchant de voir la réalité. Elle tourna le dos à son amie, les mains agrippant son crâne, les doigts glissés dans ses cheveux noirs. Pourquoi ? Comment ? Où aller ? Que faire ? Qui croire ? Qui ne pas croire ?
« Okay... Je... Voilà ce que nous allons faire... » Un détail attira son attention. Comme un flash de lumière éclairant la nuit. Cinq jours ? Comment ça, cinq jours ? Elle n'était en cavale que depuis deux jours. Elle se retourna vivement. Une douleur cinglante lui déchira la joue, les larmes lui montèrent aux yeux. Une main collée au visage, les yeux écarquillés, elle regarda ''son amie'' reculer d'un pas, un long couteau à la main. Mais le pire, c'était ce manque d'émotion qui se reflétait sur son visage. Aucune étincelle dans ses yeux verts. Aucun signe qui montrait qu'elle était vivante, humaine.
« Bon sang, Katy... » Celle-ci aussi les épaules d'un geste nonchalant.
« Ils m'ont eu, finalement Hyerah. Et je dois t'emmener avec moi. » La colère remplaça la peur. Son sang coulait entre ses doigts mais elle s'en fichait. Ces aliens étaient des monstres. Se servir des sentiments humains pour les capturer plus facilement. Combien de son espèces s'étaient laissés prendre au piège ? Combien étaient morts ou transformés grâce à ce stratagème ? Elle tendit le bras, brandissant son pistolet.
« Je refuse de suivre une saloperie d'alien. Je préfère mourir ! » « C'est justement ce qui va t'arriver. Mais nous préférerions ne pas abîmer ton corps au passage, il doit encore nous servir. » Une bile amère lui monta dans la gorge, tandis qu'elle comprenait. Ils se servaient des humains comme moyen de transport. Elle se rappela les films de science-fiction qu'elle avait vu, les livres qu'elle avait lus, pensant que ce type d'événements ne pourrait jamais arriver dans la vraie vie. Elle avait eu tord. Mais au moins, elle avait appris certaines choses.
« Vous ne pouvez pas survivre ici avec vos propres corps, n'est-ce pas ? Vous n'êtes que... Vous n'êtes que des parasites ! » L'extraterrestre leva les mains devant elle, comme pour tenter de l'apaiser. Mais qu'elle aille se faire foutre, cette pétasse ! Hyerah resserra son emprise sur la crosse de son arme. Sa main tremblait si fort qu'elle doutait qu'elle puisse atteindre sa cible si elle venait à tirer. Elle savait se servir d'un sabre mais elle n'avait jamais touché à une arme à feu de sa vie. Toutefois, elle n'osait pas tendre le bras pour attraper la lame accrochée à son dos. L'alien aurait tout le temps d'utiliser des super-pouvoirs inconnus ou une arme hyper développée bien avant qu'elle ne réussisse à dégainer son sabre. Autant rester avec le bon vieux Colt qu'elle avait trouvé dans une armurerie, la veille (en fait, c'est là qu'elle avait trouvé tout ce qu'elle transportait : un peu de nourriture, une boite d'allumettes, une bouteille d'eau et une couverture de survie).
« Hyerah, soit réaliste. Tu n'as aucune chance de t'échapper. Mes compagnons sont déjà en route, ils arriveront d'une minute à l'autre. Rends-toi et tout se passera bien. » Elle avança d'un pas. Hyerah ne bougea pas d'un pouce. Des voix se firent soudainement entendre. Un sourire animal se dessina sur le visage de son ancienne amie. Elle allait mourir. Ici, dans ce sous-sol pourri. Non, c'était vraiment injuste. Son doigt s'approcha de la gâchette, tandis que des larmes lui brouillaient la vue. Elle n'allait certainement pas réussir à tuer le parasite mais elle espérait la toucher sérieusement, histoire de gagner du temps pour s'enfuir. Elle entre-aperçu le regard horrifié de son ancienne amie lorsqu'elle réalisa ce qui allait se passer. Elle recula d'un pas, une seconde trop tard. Le coup de feu raisonna dans le sous-sol mais aussi dans tout son corps. Le recul lui avait meurtri l'épaule. L'ex-Katy écarquilla les yeux, les mains pressant une blessure sur son oeuvre. Une tâche rouge s'épanouissait rapidement sur son estomac. Oh putain. Elle avait réussi. Elle avait tué Katy. Elle eut envie de vomir, de hurler, de pleurer toutes les larmes de son corps. Mais ce n'était pas le moment. Elle devait courir.
Elle ne savait pas comment elle avait fait mais elle s'en était sortie. Sa fuite n'était qu'un souvenir flou, un mélange d'émotions. Le froid de la nuit, son souffle court et ses poumons brûlants, la peur aux tripes, ses mains teintées de sang. Son sang. Sa blessure à la joue lui faisait mal mais ce n'était pas si terrible comparé à ce que les aliens devaient lui réserver s'ils lui mettaient la main dessus. Six heures après la scène du garage, elle avait réussi à se faufiler hors de New-York en passant par le réseau des égouts. Dégueulasse mais au moins, elle était vivante. Dix jours plus tard, elle errait dans une petite-ville à la recherche de nourriture lorsqu'elle tombe sur un groupe de survivants. Ils sont à peine une dizaine et à peu près tous en mauvais état. Elle pense d'abord qu'il s'agit d'un nouveau piège vicieux, destiné à la capturer. Mais elle finit par leur faire plus ou moins confiance. Question d'instinct, sûrement. Mi-Octobre, un homme débarque dans le campement minable. Il est blessé, trop blessé. Il meurt dans la nuit, après leur avoir confirmé qu'un groupe de survivants – plus nombreux – se dirigent vers Cincinnati. Le décision entraînera de nombreuses disputes : s'y rendre ou rester ici, bien planqué ? Finalement, la bande décide de sortir de sa cachette. Ils ne pourront pas se terrer comme des rats pendant très longtemps. En Février 2013, Hyerah rejoint enfin la Cohorte à Cincinnati avec les quatre membres de son groupe qui ont réussi à survivre au voyage. Elle pense alors avoir trouvé sa place. Elle ne rêve pas du poste de leader, non, elle se sait bien trop jeune pour ça. Mais son père ne lui a pas fait suivre un entraînement au sabre depuis qu'elle est gamine pour rien. Elle a la mentalité d'un guerrier, les compétences d'un ninja. Le lendemain de son arrivée, elle n'hésite pas à demander à intégrer le groupe de soldat. Elle veut combattre les aliens, libérer la race humaine même si le souvenir de la mort de Katy ne cesse de la hanter. Elle qui était une vraie marmotte avant tout ce bordel, elle ne dort plus que trois heures grand maximum par nuit. Elle est fatiguée, presque épuisée. Mais merde, c'est l'apocalypse, elle ne va pas perdre son temps à dormir ! Elle dormira quand elle sera morte. Bref, le chef lui rit à la gueule. Elle n'est qu'une gamine, elle ne sait pas se servir d'un flingue mais peut-être espère-t-elle combattre les envahisseurs grâce à ses coups de pieds retournés ou à son cure-dent qu'elle surnomme si fièrement 'sabre' ? Non, tant qu'elle ne saurait pas se servir d'une vraie arme, elle ne deviendra pas un soldat. Elle s'est retenue tant bien que mal de lui hurler dessus, à ce vieux con, voir de lui exploser la tête - Dieu sait qu'elle en est capable - mais si elle veut prouver qu'elle ferait un bon soldat, elle doit se forcer à obéir aux ordres. Alors depuis ce temps, elle est la couturière officielle du camps. Elle s'ennuie, fulmine en silence mais ne perd pas espoir. Jamais. Elle prouvera sa valeur le moment venu, elle n'a qu'à se montrer patiente. En attendant, on l'oblige à s'entraîner au tir avec un type nommé James. Elle s'amuse à l'appeler Jaimie, elle sait qu'il déteste ça. Ils passent leur temps à s'engueuler, à se sauter à la gorge puis à s'envoyer des insultes mais au fond, James est un bon soldat. Depuis qu'il l'entraîne, elle atteint presque la cible. Presque.
« Vas te faire foutre James ! » Lui qui n'est jamais sérieux bien longtemps a perdu son sourire lorsque la jeune asiatique lui a confié son envie de rejoindre le groupe de volontaires formé par Samuel Adams. Elle veut se battre. Elle veut faire quelque chose, n'importe quoi, pour aider la communauté humaine, ne serait-ce qu'un peu. Son action sera peut-être dérisoire mais avec un peu de chance, elle éliminera suffisamment d'aliens avant de tomber, laissant la chance à un autre de finir le boulot.
« Est-ce que tu t'entends parler, sérieusement ? On dirait une gamine capricieuse qui pique une crise pour obtenir une énième poupée Barbie ! » « On parle de l'espère humaine, connard ! Je n'en peux plus de rester assise ici, à me tourner les pouces ou à rapiécer les caleçons dégoutants de tes potes ! » « Tu vas juste réussir à te faire tuer si tu le suis ! Tu n'es pas prête ! » Elle dégaina son sabre si vite, qu'il ne réussit pas à réagir assez rapidement. La pointe de la lame lui effleura la Pomme d'Adam. Il n'osa pas déglutir. Elle était peut-être une piètre tireuse, elle n'en restait pas moins douée avec sa lame à la main. Il l'avait déjà vue en action. Elle n'était pas un ninja comme il lui plaisait de penser, mais elle était suffisamment douée pour blesser grièvement quelqu'un.
« Parce que toi, tu te crois prêt ? » Il ne répondit pas, mais fit glisser son regard le long de la lame, jusqu'à la regarder dans les yeux. Elle pu y lire un mélange de peur, de respect et d'agacement.
« On joue moins au con avec ça sous le nez, hein ? Maintenant, je vais partir. Et tu ne me retiendras pas. Compris ? » Il acquiesça légèrement. Elle lui adressa un dernier regard avant de baisser son arme et de lui tourner le dos. Cinq secondes après, le néant l'engloutit... Elle se réveilla trois heures plus tard, attachée à un lit par d'épaisses entraves en cuir. James était installé sur une chaise, près d'elle, ses pieds sur le bord du lit et un bouquin dans les mains. Il ne sembla pas remarquer son réveil.
« Putain, je vais te tuer. » Sans lever les yeux de son livre, il lui adressa un sourire.
« Encore faudrait-il que tu puisses bouger. Bowel a été très clair : tu ne sortiras pas d'ici. » Elle lâcha un hurlement de colère, qui ne le fit pas réagir. Elle resta attachée pendant encore cinq heures. Il la détachèrent mais la gardèrent enfermée dans la minuscule pièce sombre. James l'avait laissé pour un problème urgent à régler. Elle passa une semaine à tourner en rond, comme un lion en cage, ne comptant son temps que grâce aux repas qu'on lui apportaient. Elle perdit pourtant la notion du temps. Un jour, elle entendit des cris qui lui semblèrent lointain. Comme elle dormait, elle pensa à un rêve. Pourtant, la porte de sa prison s'ouvrit en grinçant. Elle se leva d'un bond tandis que James entrait dans sa cellule. Il lui tendit une arme à feu.
« On est attaqué, dépêche-toi, on s'en va. » Oh putain. Elle suivit James le long d'un chemin qu'elle n'avait jamais vu. Il n'avait pas réussi à récupérer son sabre, le contact de la lame contre son dos lui manquait déjà. Lorsqu'ils rejoignirent la ''rue principale'', elle n'en cru pas ses yeux. Des humains se battant contre d'autres humains. Ou plutôt : des humains se battant contre d'anciens humains devenus parasites. Elle lâcha un hoquet de surprise. Ils se faisaient massacrer. James la tira dans l'ombre, lui indiquant un autre chemin. Il ne lui lâcha pas la main, pas une seule seconde, comme pour s'assurer qu'elle le suivait bien. Lorsqu'il le pouvait, il indiquait à d'autres membres de la Cohorte de le suivre. Le reste du chemin fut flou. Comme anesthésiée, elle obéissait sagement aux ordres donnés par James. Il avait beau lui parler, elle était plongée dans ses souvenirs, revoyant encore et encore l'attaque du 14 Juin. C'était comme si tout recommençait une nouvelle fois. Soudain, le soleil l'éblouit. Elle cligna plusieurs fois des paupières, laissant le temps à ses yeux de s'habituer à la soudaine luminosité. Elle aperçut enfin le vaisseau qui stationnait juste au-dessus de leur refuge, à quelques kilomètres de là. Elle vit George Bowel se diriger vers leur groupe. Il le suivirent. Et la Cohorte, fortement amoindrie, continua son chemin jusqu'à Orla. Bien décidée à ne pas se laisser surprendre une nouvelle fois.
B'jour ! Je m'appelle Cindy, vous me connaissez sûrement sous le pseudo de Nessaleth (c'est celui que j'utilise partout, depuis quasiment mes débuts dans le monde du rpg). J'ai vingt-deux ans, vingt-trois le mois prochain (je veux paaaaaaas) et j'habite dans le Nord de la France, près de Lille. Je suis actuellement étudiante en M1 Sciences de l'Information et du Document, dans l'espoir de devenir bibiothécaire mais vu la situation actuelle, c'est mort. Je fais du rp depuis presque dix ans, je suis une vétérante wesh * sbaff* J'ai connu le forum grâce à Bazzart. Et j'aime beaucoup de choses mais c'est trop long de faire une liste, sans déconner, je suis une fangirl, c'est IMPOSSIBLE de faire une liste complète. Disons que j'aime la kpop, le pop-rock et un peu de tout en fait, tant que c'est pas du rap français... Comme beaucoup, je suis une Potterhead mais aussi une Whovian, une Shadowhunter, une Galaxy Defender, une Queen's et je crois que c'est à peu près tout... Au pire, je vous passerais l'adresse de mon tumblr, ça sera plus simple niveau « je veux savoir qui tu es » xD En ce moment, je suis méga fan du genre post-apo, bit-lit, les dystopies, toussa toussa du coup, si vous avez des lectures à me proposer, faut pas hésiter hein !