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 Imagining the future is a kind of nostalgia.

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MessageSujet: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:01

Aspen O'Connor
❝ feat Josh Beech ❞


#SUBJECT IDENTITY
HOST
(ange gardien)

NOM : O'Connor
Prénom(s) : Aspen Deaglán
Né le : 01.02.1990
Sexe : H
Taille : 1m82
Cheveux : bruns
Yeux : verts

Arrivé sur terre en 2012 il n'était pas encore sur terre lors de l'attaque massive actuellement en vadrouille, il tient le rôle d'ange gardien Assez débrouillard, il s'en sort plutôt bien dans ce chaos complet il peut s'estimer heureux d'être doué pour la survie, le combat, la compréhension des sentiments humains malheureusement il est également trop faible pour contrôler entièrement son corps ce qui n'est pas toujours simple à vivre au quotidien pour finir, il est plutôt tendre, honnête, loyal de nature mais aussi violent, froid, méprisant, personne n'est parfait que voulez-vous !


MY STORY
all the things that make me who i am
Je connaissais les humains, à part un verbe qu'ils poussaient jusqu'à l'exagération : 'aimer'. Son emploi m'agaçait. En CM2, la grammaire latine, l'utilisait pour étudier la première conjugaison, avec l'infinitif en -are. Ils récitaient les temps et les modes d'aimer en latin. 'Aime', l'impératif m'irritait plus que tout.

Dans les livres, il y avait une grande agitation autour du verbe "aimer". En tant que lecteur, j'y voyais un ingrédient des histoires, au même titre qu'un voyage, un crime, une île, une bête fauve. Les humains exagéraient avec cette monumentale antiquité, reprise telle quelle du latin. La haine, oui, je la comprenais, c'était une contamination des nerfs étirés jusqu'à leur point de rupture. Une ville ingurgitait la haine, elle l'échangeait avec un bonjour de hurlement et de couteaux, elle la jouait au loto. Ce n'était pas celle que je connais aujourd'hui, dirigée contre les humains. C'était une haine d'humiliation, de piétinés chez eux et pestiférés à l'étranger. Cette haine mettait du vinaigre dans les larmes.

Pourtant, c'est bien ce sentiment qui me pousse à la suivre, elle. Il l'aimait, ça crève les yeux. Il veut la retrouver et moi, je ne suis qu'un pantin dont il tire les ficelles.


Humain

- Je te le dis une fois et c'est déjà une de trop : trempe tes mains dans la mer avant de mettre l'appât sur l'hameçon. Le poisson sent les odeurs, il fuit la nourriture qui vient de terre. Et fais exactement ce que tu vois faire sans attendre qu'on te le dise. En mer, c'est pas comme à l'école, il n'y a pas de professeurs. Il y a la mer et il y a toi. Et la mer n'enseigne pas, la mer fait, à sa façon. J'écris ses phrases en irlandais et toutes à la fois. Quand il les disait, c'étaient des rochers isolés et beaucoup de vagues au milieu. Je les écris en irlandais, elles sont ternes sans sa voix pour les dire en dialecte. Il commençait souvent par "et". A l'école, on apprend à éviter les conjonctions en début de phrase. Pour lui, c'était la suite d'une autre, prononcée une heure ou un jour avant. Il parlait peu, avec de longs intervalles de silence tout en vaquant aux tâches d'un bateau de pêche. Il s'agissait pour lui, d'un seul discours, qui de temps en temps se détachait de sa bouche avec le "et", dont la lettre e dessine en nœud quand on l'écrit. J'ai appris par sa voix à commencer mes phrases par une conjonction. À travers les livres de mon grand-père, j'apprenais à connaître les adultes de l'intérieur. Ils n'étaient pas les géants qu'ils croyaient être. C'étaient des enfants déformés par un corps encombrant. Ils étaient vulnérables, criminels, pathétiques et prévisibles. Je pouvais anticiper leurs actes, à dix ans j'étais un mécanicien de l'appareil adulte. Je savais le démonter et le remonter. Ce qui me gênait le plus, c'était l'écart entre leurs phrases et les choses. Ils disaient, ne fût-ce qu'à eux-mêmes, des paroles qu'ils ne maintenaient pas. 'Maintenir' c'était mon verbe préféré à dix ans. Il comportait la promesse de tenir par la main, maintenir. Ca me manquait. En ville, mes parents n'étaient plus là pour me tenir par la main.

♦ Un métier sans espoir, disaient-ils entre eux. Nous le faisons seulement par désir obstiné. Un mérou valait une nuit passée en mer. Grand-mère connaissait la mer et ses dangers, les nuits calmes elle me laissait aller. Elle me donnait un pull en laine légère et brute qui me grattait. J'aidais aux rames pendant qu'ils accrochaient les appâts et les descendait un à un dans la mer. Une fois l'étendage terminé, on attendait. L'île était loin, un petit tas de lumière. Allongé à l'avant sur la corde de l'ancre, je regardais la nuit qui tournait sur ma tête. Mon dos oscillait doucement avec les vagues, ma poitrine se gonflait et se dégonflait sous le poids de l'air. Il descend d'une telle hauteur, d'un amas si profond d'obscurité, qu'il pèse sur les côtes. Des éclats tombent en flammes en s'éteignant avant de plonger. Mes yeux essaient de rester ouverts mais l'air en chute les ferme. Je roulais dans un sommeil bref, interrompu par une secousse de la mer. Maintenant encore, dans les nuits allongées en plein air, je sens le poids de l'air dans ma respiration et une acuponcture d'étoiles sur ma peau.
Des mots nocturnes avaient bien du mal à sortir. Le silence de l'homme dans la nuit était juste. Ni le bateau qui défilait à l'horizon toutes lumières muettes ni le gargarisme d'un bruit de rames à l'approche ne parvenait à le gâcher. Dans le noir, un échange de salut avec voyelles seulement, car les consonnes ne servaient pas en mer : l'air les avale. Ils connaissaient bien tout ce qui les entourait, ils évoluaient avec une mémoire d'aveugles.
Puis tout doucement, une touche de gris décolorait le point d'horizon appelé orient. De là partait le débâcle de l'obscurité, la clarté s'élevait d'en bas et lorsqu'on voyait nos mains dans le bateau, la récolte commençait. Une syllabe m'indiquait le changement de coups des rames. Le poisson capturé montait à bord, il tapait la queue sur le bois pour dernière défense. Le pêcheur le saisissait par la tête, dégageait l'hameçon. Parfois, avalé jusqu'au fond de la gorge, il fallait alors couper le fil avec le couteau et laisser l'hameçon à l'intérieur.
Quand le soleil s'était entièrement glissé hors de la mer pour s'élever au-dessus du bateau, nous avions fini. Il prenait les rames à son tour pour rentrer plus vite. Je m'endormais à l'avant, mon maillot de corps sur la tête. Au village, Rearden, qui venait de se réveiller et m'attendait devant chez moi, me questionnait sur notre pêche, puis sur mes mains. - Montre les moi. Je lui présentais le dos de mes mains, elle les retournait. - C'est comme ça que tu les abîmes. Et puis pour se moquer de moi : - Tu as des mains de paysan. A force de pousser sur les rames, j'avais des ampoules et le sel faisait le reste. Les premiers petits cals se formaient sur mes mains qui n'avaient jamais travaillé. Pour l'enfant que j'étais, ce n'était rien de plus qu'un jeu sérieux. Pour ma famille, ça représentait plus d'une semaine de nourriture.

♦ Septembre est une renaissance du nez, les odeurs écrasées par la chaleur reviennent. Il a suffi d'une averse et la terre s'est réveillée, comme mon visage le matin au-dessus du lavabo. Pas questions de prendre la mer, le vent a retenu les pêcheurs à terre. Il souffle du nord avec effronterie, impossible d'étendre le linge.

Je me suis promené sur leur plage, pour voir ce qu'il se passe quand ils restent au sec. Les pêcheurs font divers travaux, ceux qu'on renvoie aux jours de vent. Ils réparent une barque, ils retapent un mur, ceux qui possèdent un moteur le démontent et le remontent. Mon ami pêcheur était en train de faire une nouvelle rame dans une branche de hêtre. Les vagues claquaient comme des gifles sur le rivage. Les bateaux étaient tirés au sec jusqu'aux maisons. Ils les déplacent en faisant glisser les quilles sur des supports en bois savonnés.

A midi, je rentrais à la maison, trois garçons venaient au-devant de moi. L'orphelin qu'ils m'appelaient. Je me suis arrêté. Je me suis demandé si l'heure était venue de me laisser frapper, si ces coups pouvaient servir à ébranler mon corps immobile. Ils m'avaient vu et couraient à ma rencontre. Non, ai-je pensé, je dois décider moi-même quand ce sera l'heure. Et j'ai filé vers la plage des pêcheurs. Lui était encore en train de façonner la rame, je l'ai rejoint à temps. Ils se sont arrêtés devant lui. Il s'est levé d'un bond et leur a lancé deux terribles hurlements, qui m'ont effrayé. Je ne lui connaissais pas cette voix puissante. Les autres ont décampé sans demander leur reste. Il ne m'a posé aucune question, il s'est essuyé les mains sur son tablier, a laissé son travail et m'a accompagné à la maison. - S'ils t'embêtent, viens me chercher. Il savait que mes parents étaient morts et qu'il ne me restait que grand-mère. Je lui ai demandé combien de temps il faudrait attendre avant de reprendre la mer. - Trois jours.

Je suis sorti l'après-midi, l'air était frais à cause du vent et une veste en laine n'aurait pas été superflue, mais je ne l'ai pas prise pour ne pas l'abîmer si je me blessais. J'ai marché sur la route principale jusqu'au port. Dans le bar, des groupes de jeunes écoutaient de la musique, ils avaient des jeans tout neufs et léchaient des glaces à quatre parfums - impossible d'en faire tenir plus sur un cornet. Ils restaient là pendant des heures, ils avaient quelques années de plus que moi. Leurs corps s'allongeaient dans la course de la croissance. Je passais invisible sur le trottoir. J'avançais à pas lents, j'étais prêt. J'avais décidé du jour et de l'heure, mais je ne les croisais pas.

Je décidais de revenir sur le bord de mer, plus dégagé. Je passai devant la plage où j'allais me baigner. Assis sur un petit mur, les trois garçons jouaient aux cartes. Ils me virent, ramassèrent leurs cartes et descendirent en vitesse le petit escalier vers la mer. Je ne m'attendais pas à cette réaction, je les suivis. - Mais il est seul, dit l'un d'eux. Ils avaient sûrement cru que le pêcheur était derrière moi. - Il est seul, répétèrent-ils. Personne alentour, ils m'encerclèrent, une claque arriva dans mon dos, qui me poussa vers les deux autres. Et il se mit à pleuvoir des coups que je n'ai pas comptés. J'en reçus sur le nez, j'y portai les mains. Puis, une fois à terre, un dernier coup de pied me plongea dans le sommeil. Je sais que je ne me suis pas défendu. Des douleurs, oui, fortes, mais aussi un calme obstiné de l'intérieur m'empêchèrent de crier. A dix ans, je croyais dans la vérité des coups. L'irréparable me semblait utile.

Je me réveillais sur un lit de camp, dans l'infirmerie de l'île. Ma grand-mère était près de moi. Je voulais lui sourire, mais un élancement dans mes lèvres m'en empêcha. - Qui a fait ça, mon petit ? Je ne répondis pas. Mon corps me faisait mal en plusieurs endroits, surtout au visage, puis à la poitrine, et je voyais mal. - Qui a fait ça, un homme ? Je voulais lui dire : c'est moi qui ai fait ça. - Où sommes-nous ? dis-je d'une voix qui m'était inconnue. Quelle heure est-il ? - Sept heures du soir, nous sommes à l'hôpital. J'avais passé une radio, nez cassé, bleus et contusions, trois points de suture sur le front. - Qui a fait ça ? Je dis non de la tête. - Tu ne sais pas ? Comment est-ce possible ? On ne massacre pas un enfant sans raison. Le médecin arriva, il était jeune, il parla avec grand-mère. Il voulait me garder en observation pour la nuit à l'hôpital. Elle fut effrayée, le médecin lui dit que c'était une précaution habituelle, on ne pouvait écarter avec certitude une lésion des organes internes. Elle le soupçonna de vouloir lui cacher quelque chose. Pour la tranquilliser, le médecin lui dit qu'elle pouvait m'emmener à la maison et il lui laissa son numéro de téléphone. Ce qui la calma. Puis elle parla avec un autre homme, je n'arrivais pas à voir, mes vaisseaux capillaires avaient éclaté autour des yeux. Il lui dit que c'était l'œuvre de voyous et qu'il les trouverait.
Il était tard quand on me fit monter sur un scooter à trois roues avec l'aide d'un infirmier. Je ne pouvais pas manger, je bus du bouillon avec une paille. J'avalais une pilule et je dormais jusqu'à la moitié du jour suivant.

Je me suis trouvé d'autres fois au milieu des coups, avec le souffle court des corps-à-corps. J'ai connu la haine, pas tant la mienne, que celle des autres. Au milieu des coups, je m'en suis toujours tiré. Même quand ils me déplacèrent le sternum d'un coup de pied alors que j'étais encerclé et à terre, je m'étais défendu jusqu'au moment où était arrivé un groupe des miens pour m'arracher au tas d'uniformes sur moi. Je ne peux me reconnaître dans cet enfant qui ne se défend pas. Son obstination à vouloir se prouver quelque chose à soi-même : ce devait être une certitude pour lui. Il existe des actes de foi physique. Comme escalader une paroi en solo, sans aucune protection. Mais cet enfant qui se laisse abattre est allé plus loin que l'adulte grimpant parfois sans corde, au-dessus du vide, à quatre pattes jusqu'à la sortie du somment. Cet enfant de dix ans reste aujourd'hui hors de m'a portée. Je peux le raconter, le connaître non.


BEHIND THE CHARACTER
the real "me"
Mon nom à moi c'est Julie. J'aime les licornes, j'aime les gros livres, j'aime les bisous, les petits chats et puis les tartines au pâté. Je suis ici grâce à Rearden.


Dernière édition par Aspen D. O'Connor le Dim 24 Nov 2013 - 12:34, édité 6 fois
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D. Lacey Holloway
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:03

Welcome ! :yay:
J'aime beaucoup ton pseudo :love2:
Bon courage pour la suite de ta fiche :heart:
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:06

Merci bien :love2: 
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:23

BIENVENUE SUR INVADERS !! :wouhou: :bro:
Merci de tenter l'aventure avec nous ! T'aimes les licornes les bisous et les potichats ? on t'aime déjà ! :diego:

Josh Beach est trop cute d'ailleurs, ça me rappel des bons souvenirs de revoir sa ptites têtes !! :brille:

En tout cas si tu as la moindre question, n'hésite pas ! :perv:
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Eileen Z. Wayne
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:23

Oh j'ai trop hâte de voir ce que tu vas faire de ton perso !
Bienvenue chez nous ♥
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 11:38

Merci à vous :love2: 
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 12:12

JOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOSH :heart: :jamie:
Bienvenue dans le coin
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 12:45

Merci bien :love2:

Voilà, voilà fiche terminée. Je n'ai consacré qu'une mini-partie de ma fiche à Aspen version host, je trouve beaucoup plus intéressant de le dévoiler en rp, néanmoins si cela pose problème, je modifierai sans aucun souci. :a:
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Mael V. McGabhann
Mael V. McGabhann

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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 14:29

On va pouvoir s'entendre tous les deux \o\ J'suis un host raté qui a encore l'humain dans la tête XD
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Kellian J. Lewitt
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 14:36

YOOO ! :bro:

C'est impec pour sa vie d'humain ( :diego: ) d'avant, par contre, on aimerait bien avoir plus d'informations sur son implantation ou au moins pour sa vie d'après éè. Il y'a aussi une phrase que tu as mis : "il est également trop faible pour contrôler entièrement son corps" qu'on ne comprend pas bien, tu pourrais expliciter ?

Merci d'avance, PIS BIENVENUE :lit: :lit: !!
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Léon
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 21:27

Oh j'adore le pseudo :wouhou:

Bienvenue parmi nous :love2:
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Thomas D. Leonard
Thomas D. Leonard

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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 22:59

Hooooo :love2:

Bienvenue, et tres bon choix de vava'! :pervers:
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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyMer 27 Nov 2013 - 12:15

JOSH :wouhou: :heart: Bienvenue et très bon choix d'ava' :dead: 
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B. Wade Butcher
B. Wade Butcher

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MessageSujet: Re: Imagining the future is a kind of nostalgia.    Imagining the future is a kind of nostalgia.  EmptyMar 31 Déc 2013 - 9:53

Cette fiche restant sans réponse, je la passe en archive.
Si son propriétaire revient et décide de la reprendre, il lui suffira de le demander d'un simple mp et je la remettrai dans les fiches en cours !
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