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 Tell me would you kill, to save a life? || Ellie & John

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MessageSujet: Tell me would you kill, to save a life? || Ellie & John   Tell me would you kill, to save a life? || Ellie & John EmptyJeu 25 Juil 2013 - 18:46

TELL ME WOULD YOU KILL, TO SAVE A LIFE?
La matinée était déjà bien avancée lorsque nous quittions le réseau souterrain de la cohorte pour nous aventurer dans les hauteurs de la ville qui tait auparavant connue sous le nom de Cincinnati. J'avais décidé la veille de participer à une mission de recouvrage de vivres, médicaments et autres pour la cohorte. Après tout, j'étais avec eux maintenant, et même si je faisais des efforts cruciaux pour ne pas me rapprocher d'eux de trop, je devais réussir à faire ma mission première, à savoir retrouver mon frère. Marchant dans les décombres, j'enjambais une étagère tombée dans l'ancien supermarché abandonné. Quel chaos. Les gens avaient paniqué lorsque les aliens étaient arrivés. J'en avais fait la désagréable expérience, malheureusement. Je repensais à mon frère, à mes amis. Où étaient-ils à présent? Et es parents.. Que penseraient-ils se moi s'ils me voyaient aujourd'hui? Je me baissais, repérant une boite métallique que le soleil matinal discret faisait briller. Je tentais de l'ouvrir, mais elle était fermée à clef. Je la prenais avec moi et m'avançais jusqu'au du bureau, où en dessous du comptoir de tenait une cisaille. Il y a des choses qui ne changeront jamais. Je posais la boite sur le comptoir et je l'ouvrais, y découvrant plusieurs choses. De la crème cicatrisante, des analgésiques, des compresses, de l'alcool et des ciseaux. Cela ressemblait fort à un kit de premier secours, c'était toujours utile. Essuyant les gouttes de sueur qui perlaient sur mon front d'un revers de main, je refermais la boite et allais la poser dans la brouette d'un de mes comparses, Etienne. Il venait de Nantes, une ville française, d'après ce qu'il m'avait dit. Il était en voyage avec sa famille pour ses vacances... Quelle ironie du sort. Une fois que chacun avait fait le tour de la pièce, nous continuâmes à avancer jusqu'au prochain bâtiment, l'hôpital. L'extérieur avait été ravagé, comme en témoignait les vitres cassées et les portes ouvertes. une lampe était restée accrochée au plafond, se balançant avec maints crissements au gré du vent. J'avançais dans l'hôpital, laissant les autres s'occuper de la façade avant. J'arrivais près de l'escalier pour descendre. Je m'assis sur le bord car il était détruit, et je me laissais glisser jusqu'en bas. La température s'était considérablement rafraîchie. J'allumais la lampe torche avec laquelle j'étais partie, frottant mon bras pour en dépoussiérer la manche, et j'avançais. Tout était calme, si calme... Soudain, un bruit attira mon attention, et dans la précipitation pour me cacher, je faisais tomber une caisse sur le sol. Je me glissais entre deux brancards, collée au sol, éteignant ma lampe avec précision et méthode. Tout fut calme pendant un moment, et puis des bruits de pas et des dialogues me vinrent. Ne pouvant résister, je me penchais légèrement pour observer ce qu'il se passait, de derrière mon brancard. Des hommes. Je fus soulagée et j'allais me lever pour faire connaissance lorsque je me stoppais. Attends. Ce sont peut-être des hosts. Comment savoir de si loin? Je ne pouvais pas. Dans le doute, mieux valait ne pas révéler ma présence. Je me retournais, appuyant ma tête contre le matelas, cherchant une façon pour moi de m'en sortir. Prenant mon courage à deux mains, je me mis à quatre pattes et commençait à ramper pour sortir de cet étage et ne pas me faire repérer. Après quelques secondes, et pensant que je m'étais éloignée, je me redressais. Jetant un oeil derrière moi et aux alentours, sentant mon coeur marteler dans ma poitrine, je me mis à reculer à petits pas... avant de me cogner à quelque chose. Mon coeur fit un bon et m'empêcha de respirer pendant quelques secondes, alors que je me retournais et me retrouvais face à un humain. Quelque chose dans son regard m'affolait, mais je ne saurais dire quoi. Tu es perdue? me demanda-t-il le plus naturellement du monde. Je me fis violence pour reculer d'un pas, et je lui répondais, la voix rauque. Non, non je... Tout va bien, je vais vous laisser. Partant dans la direction opposée, un nouvel homme me barra la route. Voyons, tu peux nous faire confiance... Montre nous où sont tes petits amis, et nous te ramènerons à eux. Tentant, mais non. Je n'ai jamais dit que j'étais accompagnée... leur fis-je remarquer. Un silence s'en suivit, et après une seconde d'immobilité, je prenais mes jambes à mon cou. Je courrais, passant d'une pièce à une autre, sans vraiment réfléchir où j'allais. Je ne pouvais pa remonter, c'était trop haut. La seule solution restait de trouver une brèche dans un mur et de m'en aller. C'est ce que je fis, au bout d'un moment. Je me faufilais hors de l'hôpital à travers un tour dans le mur, et j'arrivais dehors, en réalité, je me trouvais sous un pont défoncé. L'eau de pluie qui coulait à présent s'écoulait le long des câbles électriques inertes. Le spectacle aurait pu être incroyablement beau, mais je n'avais pas le temps. N'écoutant que les battements de mon coeur, je m'éloignais de l'entrée et me faufilais jusque derrière une voiture. Je sortais de ma botte un couteau effilé mais peu coupant, le seul que j'avais encore sur moi. L'eau me trempa vite fait, et en levant la tête, je remarquais que j'étais exactement à l'endroit où le pont était brisé, me laissant en proie à l'averse de pluie fine et battante qui s'écoulait du ciel. Je passais une main sur mon visage pour glisser une mèche de cheveux derrière mon oreille, et ce faisant grimaçais. Je regardais mon bras, sur lequel une profonde estafilade courait de toute sa longueur. J'avais du me blesser en sortant du mur, me frotter à quelque chose. Comme si le fait de le voir l'avait rendu plus vrai, la douleur me faisait frissonner à présent. Mais je serrais toujours le couteau das ma main luisante de sang et d'eau.
(c) sweet.lips


Dernière édition par Ellienor Cartwright le Lun 29 Juil 2013 - 18:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Tell me would you kill, to save a life? || Ellie & John   Tell me would you kill, to save a life? || Ellie & John EmptyVen 26 Juil 2013 - 16:38

YES... I WOULD
John était en hauteur, dans un petit coin, tout près de l'hôpital, il s'en servait comme on se sert du nord sur une boussole dans ce coin de Cincinnati. Il fit un ''X'' rouge sur un immeuble de plus avec un marqueur dont il avait le bouchon sur le bord des lèvres. Il ramenait tout ce qu'il pouvait sous un même toit. Nourritures, armes, médicaments... C'est d'ailleurs l'hôpital qu'était sa prochaine cible. Mais John se doutait bien que l'endroit serait gardé. Il est facile à deviner que beaucoup de survivant tenteront l'exploit que de vider un hôpital de son matériel médical. Il n'y avais pas beaucoup de bruit dans le coin, il n'y a jamais beaucoup de bruit dans le coin.

John dit souvent que le vacarme de guerre entre lui et les aliens est un puissant silence qui ne s'arrête que rarement. Il ne se sert plus de sa carabine comme avant, il utilise aussi l'arc et le couteau. Cela attire surement un préjuger plus brutal, mais John est en vie et c'est ça de plus que beaucoup de gens. Cela a également toujours préserver sa réputation du temps de la contrebande, où il était brutal, cruel et extrêmement courageux. Il n'a pas vraiment changer si ce n'est que ses activités ne sont plus les mêmes qu'avant et qu'à présent il est en solo.

C'était presque l'été, le vrai été. C'est une saison qui demande de l'adaptation à John. Il ne peut pas se camouflé de la même façon, ni se débarrasser de ses ennemis de la même façon. Certains endroit stratégique construit par la nature disparaisse et laisse parfois place à des pièges. L'adaptation, si un mot pouvait décrire John, c'était celui-là. Il vit aujourd'hui en ce monde d'une façon naturel, il a fait de ce nouveau mode de vie le nouveau ''normal.'' Ce que la majorité des gens n'arrivent pas à faire.

Il marcha au travers du décors qu'avait laissé le printemps. Sur le bord des toits, accroupis, il esquivait des patrouilles hosts. Avec sa lunette d'arme, il les observait. Il se passait quelque chose, bien sur, il se passe toujours quelque chose dans le coin. John élimine de temps à autre les hosts qui se sépare des groupes. Parfois ce n'est qu'un acte terroriste a la signature brutal, telle qu'un moteur brisé, une voiture piégé ou simplement des pneus crevé. Il ne focalise pas sur l'extermination, il focalise sur l'affaiblissement de leurs ressources et sur le changement de leur perception. Cependant, ces activités n'étaient pas causé par les 2 hosts que John avait fait disparaître il y a 2 jours. C'était autre chose, mais malheureusement, une lunette ne procure pas des oreilles bionique.

C'est en demeurant seul qu'il a survécu aussi longtemps, le nombre a tendance a condamné même les meilleurs. Néanmoins, ils ne pouvaient mentir, Jane était une camarade efficace et vitale. Certaines choses ne peuvent être accomplie par John, ce sont des choses que Jane, elle, savait. Il ne pouvait compté le nombre d'host qu'ils ont neutralisés.

En approchant discrètement en hauteur, pour avoir une vue clair sur l’hôpital, il entendit des pas rapide et inégale. C'était plusieurs personnes qui cours, plus précisément 4. Une pair de pied semblait plus près de la position de John que les 3 autres. C'était définitivement une chasse à l'homme.

Il vit dans la lunette de son arme, une demoiselle fuyant 3 agresseurs. John a survécu aussi longtemps en suivant sa route. S'arrêté pour chaque âme en détresse est un travail sans fin qui mène à la mort. Cela fait partis de sa vision, de son code on pourrait dire. Néanmoins, il avait trouver plusieurs balles de son arme il y a peu, en utiliser 3 ne ferait pas une grande différence et les hosts de l'hôpital prendrait surement du temps à rejoindre sa position actuel. Un coups de main qui coûte 3 balles, pourquoi pas.

Un premier tir retentis, percutant l'homme le plus proche de la demoiselle, en plein torse. Les deux autres en ont pris une chacun dans le sternum. Une mort cérébrale directe et rapide. Un barrett M82, du calibre 50. Ce n'est pas un petit jouet, c'est une arme qui tue beaucoup plus qu'elle ne blesse. Une telle puissance de feu tue instantanément ou blesse de façon critique la cible. Dans les deux cas, la cible est condamné. Il n'y a pas beaucoup d'utilisateur de calibre 50 ces temps-ci, c'est pourquoi John les a presque toute à lui tout seul. De précieuses balles.

Il devint moins facile de voir la demoiselle, elle ne courait pas en ligne droite. Elle ne faisait que courir, mais c'est le territoire des hosts, ils le connaissent par coeur. La seule personne qui peu fuir en vie la zone sur laquelle cette demoiselle venait d'embarquer, c'est John.

Il descendit rapidement et rudement les rebords hauts placés où il se trouvait avant d'allé la couper, en plein devant elle. Rapidement et directement, il n'y avait pas de très bonne façon de rencontré quelqu'un d'alarmé en zone hostile. La carabine sur son épaule, les mains en l'air, il se mit au travers de son chemin. Essoufflé et très vigilant aux sons autour d'eux, il lui dit :

- Je ne suis pas host ! Mais si tu ne me suis pas, je doute que tu sorte de leur territoire en vie... Il est piéger et très surveillé...

Il n'avait pas parlé à quelqu'un depuis un sacré bout de temps, cela devait être sa façon un peu débalancé d'aborder la demoiselle. Pour une fois que John donnait un coups de main, ce serait bien pour lui que cela ne soit pas un échec.
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