Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. »
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Sujet: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Sam 6 Avr 2013 - 23:49
PANDORA JOHANNA MCALLISTER
❝ feat EMMA STONE ❞
#SUBJECT IDENTITY TRAVELLER
NOM : McAllister Prénom(s) : Pandora Johanna Né le : 07/10/1987 Sexe : F Taille : 1m68 Cheveux : roux Yeux : bleus / verts
Originaire de Boston✘ elle était psychiatre avant le grand désastre ✘ actuellement en vadrouille, elle tient tout rôle qui lui permette de survivre✘ Assez débrouillarde, elle s'en sort plutôt bien dans ce chaos complet ✘ elle peut s'estimer heureuse d'être douée pour se faire discrète (elle est capable de se faufiler dans certains endroits sans se faire repérer), garder la pêche et son optimisme légendaire, soigner les petites blessures superficielles✘ malheureusement elle est également difficilement capable de tirer à l'arme à feu (même si elle ne passe pas par quatre chemins quand cela devient une question de vie ou de mort), un peu trop confiante en les survivants qui tiennent encore, et n'a pas une forme physique hors du cmmun ce qui n'est pas toujours simple à vivre au quotidien ✘ pour finir, elle est plutôt souriante, douce, tendre, confiante, amicale, optimiste, courageuse, taquine, amusante, spontanée, terre à terre, à l'écoute, compréhensive, empathique de nature mais aussi impatiente, téméraire, intrépide, têtue, crédule, rancunière, orgueilleuse, sensible, parfois impulsive, personne n'est parfait que voulez-vous !
MY STORY
all the things that make me who i am
Le plus important n'est pas de savoir si on est vivant après être mort, mais d'être vivant avant d'être mort.
C'est le sept octobre mille neuf cent quatre-vingt-sept que j'ai poussé mon premier cri, dans les bras de ma mère, qui n'a rien trouvé de plus amusant que de me nommer en utilisant un dérivé de la célèbre "Boîte de Pandore". Durant toute mon adolescence, elle n'eut de cesse que de me dire qu'elle avait choisit ce prénom uniquement parce qu'elle le trouvait joli, et pas parce qu'elle avait voulu faire un jeu de mots presque malsain. En grande excentrique qu'elle était, à toujours vouloir s'écarter du droit chemin, je ne la crus jamais, du moins à ce propos. Je la connaissais suffisamment pour savoir qu'elle ne faisait rien au hasard et que, même pour choisir mon prénom, elle ne fit pas preuve d'une très grande maturité. Enfin, qu'importe, il n'était pas non plus horrible, même si durant toute ma jeunesse, je me fis appeler Jo, préférant très largement mon deuxième prénom au premier. En parlant de cela, je fus longtemps une enfant troublée, assez mystérieuse et très renfermée, préférant de loin manger mon goûter seule dans un coin de la cour de récréation, plutôt que de chercher à me faire des amis. Pas turbulente pour un sou, j'étais même calme, à observer et écouter plutôt que de parler sans arrêt. Je préférais être seule, voilà tout. Il faut dire qu'être élevée par une femme comme ma mère, incapable de se gérer elle-même, donc encore moins de s'occuper de moi ne me donnait pas toutes les chances d'être une enfant banale et heureuse au maximum. Je ne sus jamais qui était mon père, parti en apprenant que ma mère la fêtarde était enceinte, "pas une grande perte" d'après celle-ci, mais cela ne m'empêcha pas de ressentir le vide pendant toute ma vie. Si les dix premières années de ma vie, ma mère fit autant d'efforts que possible - bien souvent éphémères - pour rester à mes côtés, par la suite, elle passa de plus en plus de soirées dieu seul sait où, à faire dieu seul sait quoi... Les journées, elle travaillait, et la nuit, elle faisait la fête, et que sais-je d'autre encore. Dans un premier temps, cela fut un frein majeur pour mon propre développement, toute perturbée que j'étais, et puis, plus je grimpais les échelons à l'école, et plus je m'affirmais, dévoilant enfin au reste du monde ma vraie personnalité.
Pour autant, je ne devins pas l'animal nocturne qu'était ma mère, exception faite quand je planchais sur des dissertations jusque tard dans la nuit. Je me mis à sortir de temps à autre, je travaillais même durant les week-ends et les vacances, rapportant assez d'argent pour en mettre un peu de côté, tout en subvenant aux besoins desquels ma mère ne prenaient même plus la peine de se renseigner. Pendant cette période là, alors que je venais tout juste d'entamer ma première année d'études de psychologie, j'eus même un petit ami, durant plusieurs semaines, mais cela ne dura pas, tant j'étais concentrée sur mes études, que je voulais réussir à tout prix. Je réussis finalement à entrer en psychiatrie, mon rêve se réalisant enfin, mais ma mère semblait avoir décidé de me pourrir la vie jusqu'au bout. Un coup de téléphone, un soir où elle était, une fois de plus, de sortie, tandis que je planchais sur un livre de Freud, me coupa en plein élan, me faisant redescendre sur terre de manière sans doute un peu trop brutale. Elle avait été victime d'un accident de voiture. Morte sur le coup. Je passai de nombreuses heures à m'occuper des papiers, j'allais même identifier son corps. Les semaines suivantes furent tendues, et très compliquées. Je dus apprendre à jongler entre un petit job de serveuse dans un restaurant, et mes études, qui se finissaient à la fin de l'année. Les factures n'étaient parfois même pas payées, mais je réussis tout de même à tenir quelques mois supplémentaires, le temps de passer mes examens. Mon diplôme en poche, je décidai de quitter la maison familiale, dont le loyer était devenu bien trop cher pour mes maigres ressources. Je restai tout de même à proximité, toujours dans Boston même, mais dans un appartement plus petit, avec juste ce qu'il me fallait pour vivre.
Car, si chaque moment qui passe vous rend plus amoureux, il vous rend aussi plus vulnérable.
L'appartement dans lequel je m'installai, quelques plus tard, avait tout ce dont je pouvais rêver. Le loyer était plutôt modeste, il était à proximité du centre ville, mais aussi de mon boulot, que j'avais trouvé quelques mois après l'obtention de mon diplôme de psychiatrie. Un hôpital psychiatrique dans lequel j'avais déjà fait deux stages, qu'espérer de plus ? Je pris mon job très à coeur, et parallèlement je réussis à mettre de nouveau de l'argent de côté pour me payer le permis et une petite voiture comme on en a bien souvent à nos débuts... Tout semblait réunit pour que je sois heureuse : un appartement bien placé, une voiture qui fonctionnait, et un boulot comme je l'avais toujours désiré. Mais à part quelques amis avec lesquels j'avais gardé quelques rares contacts, je n'avais plus personne. Si on mettait de côté mon voisin que je ne pouvais définitivement pas me voir. Trop hautain, trop sûr de lui, trop d'à prioris aussi... Mais de cela, je ne m'en rendis compte que plusieurs semaines après mon installation, alors que, finalement, nous réussissions à avoir une discussion normale, sans avoir l'envie de nous étrangler mutuellement. En réalité, il était génial. Et plus je passais de temps avec lui, plus je m'en rendais compte. D'ennemi juré, mon voisin Sean, passa rapidement au statut d'ami sur lequel je savais pouvoir compter. Nos appartements étant situés juste l'un en face de l'autre, nous étions forcés de nous voir plutôt souvent, il était donc préférable que nous continuions à avoir des relations cordiales, et même amicales dans ce cas précis. Je ne pouvais alors plus nier l'évidence : Sean était devenu l'un de mes amis les plus proches, je ne passai d'ailleurs que très peu de temps loin de lui. Et, dans le fond, je savais déjà que mes sentiments pour lui étaient bien plus profonds que ce que l'on peut ressentir pour un ami, mais ça, je n'étais certainement pas prête à l'avouer à cette époque-là, et ce, même sous la torture. Foutu orgueil mal placé.
Et pourtant, tout à fait naturellement et avec du temps, notre relation continua à avancer, pour devenir quelque chose de plus qu'une simple amitié, sans que cela devienne très officiel. Nous passions le plus clair de notre temps libre ensemble, soit chez l'un, soit chez l'autre, nous étions, en fait, toujours fourrés l'un avec l'autre. En somme, nous formions un couple non officiel, c'est-à-dire que l'on aborda jamais le sujet, on ne chercha même pas à qualifier l'autre de petit ami. Et pourtant, nous agissions comme un vrai couple, à ne jamais être bien loin l'un de l'autre, à nous connaître mieux que nous-mêmes, à ne pas avoir besoin de mots pour comprendre quand quelque chose n'allait pas. En fait, je ne m'en rends compte que maintenant, la seule chose qui m'empêcha de me lancer pour lui avouer ce que je ressentais réellement était mon orgueil, ma peur, sans doute, de le faire fuir en me confiant un peu trop. Pour tout dire, je suis même incapable de dire si, à l'époque, je ne faisais pas tout simplement une sorte de déni, un truc dans ce goût là. En tous les cas, jamais on ne se prononça sur notre relation si étrange et ambiguë. Peut-être était-ce juste ainsi que les choses devaient se passer... En tout cas, rien ne semblait pouvoir briser ma petite bulle de bonheur, ma vie plus stable que ce que je n'avais jamais pu connaître. Mon boulot m'apportait tout ce que je voulais, j'aimais l'idée de pouvoir venir en aide à des personnes qui en avaient besoin, tout en étant très souvent effrayée et ébranlée par certains cas. Parce que les patients n'étaient pas tous totalement conscients de ce qu'ils faisaient, ou même de ce qu'ils avaient fait. Bosser dans un asile psychiatrique, et en rêver depuis bien longtemps peut paraître loufoque et plus que bizarre, mais c'était exactement mon cas. Et si j'avais parfois du mal à encaisser certaines situations dans le milieu, cela ne m'empêchait pas d'adorer mon travail, bien au contraire.
Il ne faut pas trop se protéger, sinon on ne ressent plus rien. Notre cœur devient de glace, on n'est plus qu'un mort vivant et la vie perd à jamais toute saveur.
Bien évidemment, c'est quand on s'y attend le moins que tout nous est retiré sans aucune délicatesse, avec une brusquerie et une rapidité des plus désarmantes. Un instant, tout allait bien, et le jour d'après, tout virait au cauchemar. Des aliens ? Des aliens ! Moi qui avais toujours été d'un naturel tout ce qu'il y a de plus rationnel, je n'eus d'autre choix que de céder, et de me rendre à l'évidence : la Terre avait bel et bien été envahie, comme j'avais déjà pu le voir dans divers films. Et comme une évidence, c'est avec Sean et personne d'autre que je pris la fuite, peu désireuse de me laisser avoir par ces... Choses. On profita de l'agitation pour quitter Boston au plus vite. Notre petit voyage à deux ne dura pas plus de quelques semaines. Bien que l'on évita autant que possible les routes, ou même les villes en journée, et que l'on prit toutes les précautions qui nous paraissaient nécessaires, les aliens nous rattrapèrent, alors que l'on se cachait dans une maison laissée à l'abandon par les propriétaires. Sean me cacha, et se livra à l'ennemi. Trop effrayée à l'idée de laisser ma place dans mon corps à un extraterrestre, et peu encline à tout lâcher aussi facilement, je le laissai faire et restai dans ma cachette. Grave erreur que je regretterai sans doute toujours, que je sois encore totalement maître de mon corps ou pas, j'en suis persuadée. Sa disparition eut pour unique effet "bénéfique" de me faire définitivement prendre conscience des sentiments que je ressentais à son égard, pas seulement amicaux. Malheureusement, il était bien tard pour me dévoiler. Je pris cela d'abord comme un coup de poing en pleine gueule, puis beaucoup plus positivement : tout ne pouvait pas être uniquement blanc ou noir. Il était forcément quelque part, et il devait bien se rappeler de moi... Non ? Une chose est sûre, je ne perds pas espoir, je veux le retrouver à tout prix, et je le ferai... Peu importe où il se trouve maintenant. Et surtout, peu importe les risques que je dois prendre pour cela. Tout n'est pas perdu d'avance, je reste optimiste. C'est tout ce qui me tient à vivre.
Mais comme on dit, la roue tourne, et tous les événements ne pouvaient pas non plus aller contre moi. Ainsi, je fis la rencontre de deux autres personnes, qui se cachaient déjà dans une vieille usine désaffectée dans laquelle je projetai de m'installer provisoirement, juste le temps de faire le plein d'énergie avant de repartir à ma traque, qui était devenue une véritable mission à mes yeux. A peine eus-je le temps de mettre un pied dans le bâtiment abandonné, que je me faisais acculée, et désarmée. La respiration coupée par la prise que l'on exerçait sur mon cou, je ne pus empêcher la main baladeuse qui s'aventura jusque sur mon crâne pour toucher ma peau. C'est avec un soulagement non feint que je vis l'inconnu reculer peu de temps après. Je ne tardai pourtant pas à pointer les deux personnes présentes face à moi à mon tour avec mon fusil qui ne me quittait jamais, le regard et la voix déterminés, mais les mains quelques peu tremblantes. Ils me confirmèrent qu'ils n'étaient rien d'autres que des humains, tout aussi égarés que moi. Un frère et une soeur que je fus bien obligée de croire en touchant leur crâne à mon tour. Aucune trace, comme il m'avait expliqué que je n'en trouverais pas. Il n'y avait donc aucun alien inséré en eux. Peu à peu, la confiance se mit en place, et on commença à se confier quelque peu, sur nos vies d'avant mais surtout, oui surtout, sur nos manières de survivre, sur ce que nous mettions en place chacun de nos côtés pour ne pas nous faire attraper. De fil en aiguille, on se décida à ne former plus qu'une équipe, ce qui me libéra d'un poids, de toute évidence. Je n'en oublie pas pour autant mon désir de retrouver Sean, et mes nouveaux amis sont parfaitement au courant de cela, et du fait qu'ils se doivent de me laisser partir où bon me semble, quand je le souhaite. Sean, je te retrouverai. Coûte que coûte.
BEHIND THE CHARACTER
the real "me"
Alors moi c'est Emilie, alias Schizophrenic sur le net. J'aurais dix-huit ans au mois de juillet, et je suis pour l'instant en terminale littéraire (pour poursuivre sur une licence de psychologie). Je serais donc un peu moins présente pour la période du BAC, mais voilà je ne pouvais pas résister au forum, ni même au scénario qui appelait mon petit moi diaboique Je passe, normalment, tous les jours, et je rps plusieurs fois par semaine (sauf cas extrême). Cela fait quatre ans, ce mois-ci en plus tiens, que je rp même si au début, c'était encore les rps de 3 lignes Sinon, j'aime regarder des séries, telles que The Walking Dead, Dexter, etc, mais aussi les films et puis lire, of course. D'ailleurs, j'ai juste adoré Les Âmes Vagabondes, Stephenie Meyer m'a épatée, et s'est trèèès largement surpassée Au passage, le forum est juste magnifique
Dernière édition par Pandora J. McAllister le Lun 8 Avr 2013 - 18:21, édité 15 fois
Fantine C. Delacroix
" TRAVELLERS " without any attachment
avatar : hyomin messages : 973 date d'inscription : 20/12/2012
points rp : 27 localisation : à la cohorte rôle/occupation : infirmière humeur : massacrante, as always
WHO I AM ? ▲ statut : divorcée ▲ inventaire: ▲ relationships :
Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 2:29
BIENVENUE sur Invaders Très bon choix de scénario, bonne chance pour la suite de ta fiche
points rp : 7 localisation : dans ton... pardon, ohio rôle/occupation : a little bit lost, maybe humeur : à poutrer des dragons
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire/en couple/marié(e) ▲ inventaire: ▲ relationships :
Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 6:35
TON CHOIX D'AVATAR EST TELLEMENT COOL QUE J'AI FAILLIT RENVERSER MON YOP ! Bonne chance pour ta fiche si tu as la moindre question, n'hésite surtout pas !!
Avery L. Taylor
" HOSTS " invaders must die
avatar : Elizabeth Olsen messages : 244 date d'inscription : 23/03/2013
points rp : 45 localisation : New York rôle/occupation : Gestionnaire du conditionnement humain humeur : Je pète des arc en ciel
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire ▲ inventaire: ▲ relationships :
Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 8:11
Biienvenue ! Je connais un psychopathe qui doit être contente Emma Stone est sexy, ton kit est sexy... Si un jour tu veux plus de Sean je suis là En attendant bonne chance pour ta fiche !
B. Wade Butcher
" HOSTS " invaders must die
avatar : david lyons messages : 676 date d'inscription : 23/01/2013
WHO I AM ? ▲ statut : veuf ▲ inventaire: ▲ relationships :
Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 10:58
Bienvenue ici!
Si tu veux plus Sean... je suis la
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 11:00
James Franco ? Hmm.. Je vais y réfléchir
Merci à toi en tout cas
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 12:27
Regarde moi ces vautours qui veulent te mettre le grappin dessus !
Bienvenue Pandora , bon courage pour ta fiche. Comme je te l'ai dit n'hésite pas à me contacter si tu as des questions ou des remarques ! Je ne vais pas pouvoir Rp avec toi tout de suite mais je te confie aux bons soin des membres. Si ils t'embêtent préviens moi, je m'occupe d'eux !
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 12:37
T'as vu ça un peu ? Aaah les jeunes de nos jours
Si les membres m'embêtent, sinon, je leur fais une prise de karaté, je peux faire peur si je veux Mais sinon je n'hésiterais pas, en effet D'ailleurs, tu risques de bientôt recevoir un mp, j'avais une petite question sur ce qu'elle fait actuellement
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 19:06
Bienvenue parmi nous, et bon choix de scénario !
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Dim 7 Avr 2013 - 19:17
WHO I AM ? ▲ statut : célibataire ▲ inventaire: ▲ relationships :
Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Mar 9 Avr 2013 - 9:25
Vu que c'est déjà validé par Halichoute, je pense que c'est good !
TU ES VALIDÉ(E)
Félicitation et bienvenue sur Invaders !
Maintenant que ta fiche a été validée, le staff va se charger de te donner ta couleur et ton rang. Ton avatar sera recensé dans les plus bref délais. A présent tu peux t'occuper de ta fiche de liens ici et de ton almanach des rp ici. Pour toute question le staff est à ta disposition par mp ou sur la box si l'un de nous est connecté.
On te souhaite un bon amusement sur le forum ! À très bientôt ! ♥
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Mar 9 Avr 2013 - 12:03
bienvenue beauté !
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Mar 9 Avr 2013 - 12:05
Bienvenue Pandore, tu vas faire de vilaine choses, ton prénom n'est pas synonymes de grandes qualités
(J'viens de me rendre compte que le vava de Wade bouge 00)
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Mar 9 Avr 2013 - 12:10
Dara !
après tout ce temps tu captes ?
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. » Mar 9 Avr 2013 - 16:03
Merci à vous
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Sujet: Re: Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. »
Pandora ◄ « La nuit lorsque l'espoir s'éteint, une étoile s'allume pour te guider. »